Lundi 6 Janvier 2014
Et la saison continue avec そにアニ -SUPER SONICO THE ANIMATION- (Soniani), qui est de la pure série moe... visiblement sur un club type K-on!, en moins amusant.
On suit la journée de Sonico-chan, de son réveil (à la bourre) jusqu'au soir. Il n'y a rien d'amusant, rien de très prenant ou intéressant. En tout cas, pour une étudiante, elle arrive à faire beaucoup de choses à côté, en partant super à la bourre le matin. Elle ne doit pas avoir un programme très chargé pour réussir à : arriver en cours vers 10h, l'après-midi, aller à une séance photo, car elle est mannequin, ensuite travailler dans un restaurant et finir la soirée avec son groupe de musique.
Bref, mis à part son côté moe, la série est plate au possible (sauf si on regarde les formes de Sonico), sans ambiance, sans humour, sans rien... J'espère que la suite n'est pas comme ça, car même une série contemplative est plus intéressante (ses dernières joues plus sur l'émotion, le rêve ou l'ambiance).
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とある飛空士への恋歌 (To Aru Hikūshi he no Koiuta) me fait vraiment penser à un monde type Last Exile. Un monde qui vit dans le ciel avec des engins volants de toutes sortes, et des histoires des familles impériales, etc. À voir jusqu'où cela peut aller. Pour l'instant, le début est mieux que ce que j'aurais imaginé. D'un, ce monde aérien est assez bien foutu avec des scènes aériennes plutôt réussies. De deux, ça démarre avec de l'action, probablement une guerre future, histoire de se mettre dans l'ambiance, mais rapidement on revient à quelque chose de plus calme pour suivre un duo de frère et sœur un peu particulier qui va rejoindre une école en partant en avion.
Karl, le héros est donc l'héritier d'un empire déchu, qui vit depuis son enfance dans une famille d’adoption. Sa sœur d'adaptation a le même âge que lui et qu'un d'eux n'accepte d'être le cadet de l'autre. L'histoire commence quand ces deux-là doivent rejoindre une école posée sur une immense île volante harponnée au sol. Son lâcher est inauguré par l'impératrice qui a pris la place qui revenait à Karl en faisant déchoir sa famille. Il a la rage qui lui monte à la tête quand il la voit. Non loin de l'école, il va faire la rencontrer d'une fille timide avec un vélo qui a déraillé. En l'aidant et la raccompagnant, il semble en être tombé amoureux, sans vraiment savoir qui elle est.
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Voilà une série qui commence fort. ディーふらぐ! (D-Frag!) ressemble à ce que l'on peut faire pire comme club de tarés. Le héros, Kenji, se voit contraint par la force par quatre folles dingues qui pensent avoir des pouvoirs spécieux d'entrer dans leur club. Il s'agit d'un club de création de jeux (de toutes sortes), parfois carrément terrifiants et dangereux. Se voir contraint d'entrer dans ce club semble pire que l'enfer pour certaines.
On commence donc avec un groupe de trois garçons qui ont une certaine réputation dans le lycée (sauf un : Kenji), qui découvre une classe en feu. Le rideau brûle, mais on leur dit que c'est une illusion. Une illusion réelle. Une fois l'incendie éteint,il se rend compte qu'elle fait un feu d’artifice en classe. Suite à cela, les filles du club qui foutaient le feu à l'école prétendent avoir les pouvoirs : de la foudre (avec un taser) et de l'eau (avec une bouteille). Les deux camarades de Kenji ont été électrocutés et noyés. Lui réussit à prendre la fuite devant celle au pouvoir du feu (avec un feu d’artifice) usant de son pouvoir « moe-moe », qui ne fonctionne pas du tout sur lui. Il prend la fuite, mais elles ont finalement raison de lui qui accepte de rentrer dans le club. Ses deux amis ne se souviennent même pas être rentrés dans la salle de ses illuminées. Il faut dire qu'outre le pouvoir « moe », celle-ci à un pouvoir des ténèbres, bien plus puissant. Méfiez-vous des anges.
Il semble qu'il y en a une qui soit assez forte pour inventer des jeux où même si tu gagnes tu perds. Je sens que ça très vide devenir n'importe quoi ses petits jeux... En fait, ça l'est déjà un peu. Le début est bien marrant, j'espère que la suite sera également bourrée de gags comme ceux du premier épisode.
