Marchons un peu...

Petit tour du côté de Busséol. Le temps, bien que nuageux, était très agréable pour la saison. C’est une balade que j’ai faite plusieurs fois et qui permet de voir les paysages environnants en passage non loin du château de Busséol. Il y a un peu de dénivelés, mais vraiment rien d’insurmontable.

Petite balade où j’ai fait le minimum. J’ai juste suivi le parcours de l’après-midi de 15 km. Il y avait 15 ou 20 km, le matin et l’après-midi. C’est une randonnée organisée par Les Pieds Verts, une association de randonneur locale, avec la possibilité de manger le midi. J’étais clairement le plus jeune parmi ceux que j’ai vus... La balade longeait le bord de Loire, avec un dénivelé relativement faible. La météo très bonne (ce qui était vraiment une chance, vu celle avant et après) nous a permis de bien profiter de cette journée.

Petite balance familiale dans le Massif des Trois : les 25 bosses. En fait, considérer cette randonnée comme une balade est un peu une erreur, car malgré des bosses relativement peu élevées (quand on vient du Massif central), il s’avère que celle-ci est assez peu simple dans un bon équipement. Surtout après un peu de pluie : les rochers sont glissants, le sable très présent dans le secteur n’aide en rien. De plus, le parcours, si suivi à la lettre, demande parfois un peu d’acrobaties. De fait, on l’a beaucoup, beaucoup adapté quand on s’est rendu compte que l’on n’arriverait jamais avant la tombée de la nuit.

Dans l’ensemble, ça reste bien plus agréable que je n’imaginais, mais ça doit l’être encore plus quand le temps est plus clément. Il y a quelques points des vues, mais ce qui m’a le plus surpris c’est que j’avais l’impression que la mer n’était pas bien loin : des pins et du sable, des noms de chemin qui rappelle la mer. C’est assez amusant.

Petite balade qui ressemble à la précédente, à l'envers et les nuages brumeux et glaciaux en plus. Cette fois, l'hiver est là, avec un sol gelé qui donne des formations de glace pas très pratique pour marcher, car cela défonce les chemins. On est passé entre les Suchets, pour continuer jusque dernière le Puy de Pariou pour ensuite y remonter. En haut, le vent du nord était glacial, on y voyait Clermont-Ferrand sous le soleil. On ne s'est pas trop éternisé pour ensuite se rendre au Puy-de-Dôme par le versant nord. Le passage, perdu dans les nuages, donnait une impression étrange avec une perte de repère des hauteurs. Plus on montait, plus le brouillard était épais, au point qu'en haut on n'y voyait presque plus rien. Après un petit passage au chaud, redescente par le chemin de Multiers au pas de course.

Petite balade d’automne, avec une montée sur le chemin des Muletiers, histoire de bien se casser chauffer, pour continuer avec un passage près des ruines du temple de Mercure. En suite on est passé par le versant nord pour se diriger vers le Puy de Pariou, mais sans s'y rendre. Le monter vers les Suchets n'est pas simple, très glissant à cause d'un sol presque sableux, puis un retour en forêt magnifique. Avec le beau temps, c'était une balade très agréable.

Des années que je ne m’y étais plus rendu... Je pourrais dire des décennies. Forcement, dans mes souvenirs c’était un peu plus long et différent. En fait, d’un côté, ça donne l’impression d’être un peu plus à l’abandon, et de l’autre certaines choses ont été aménagées. En tout cas, la Monne continue d’y couler tranquillement au milieu des gorges.

Aujourd’hui petite balade en partant de Pessade pour faire le tour du Puy de Baladou. Temps très agréable (quelques éclaircies et un vent assez doux) pour une petite randonnée avec un peu de dénivelés dans des décors auvergnats magnifiques.

Après avoir passé trois jours à glander, vu la météo exceptionnelle du moment, je me suis dit qu'il serait temps de se bouger. Sans aucune originalité, mais comme ça doit faire au moins 15 ans que je m'y suis rendu, j'avais envie de voir une vue depuis le puy de Dôme en début hiver (qui ne ressemble pas à l'hiver).

Le chemin des Muletiers n'est pas un parcours bien difficile : 1,9 km et 350 mètres de dénivelé. Au sommet, il y a une patinoire, un restaurant, un musée avec les ruines du temple de Mercure, et beaucoup trop de monde. Comme je suis parti assez tard et que le soleil se couche assez tôt, j'ai pu voir le coucher de soleil... Conséquence, je suis retourné à mon véhicule dans une obscurité de plus en plus prononcée.

C'est dimanche, il fait beau et je m’inscris pour une petite balade dont le départ est à Ravel à côté de l'église. Le départ est à 9 heures, et même avant l'heure il y a beaucoup de monde à l'inscription. On prend le parcours des 20 km (visiblement qui ne fait que 19). Au départ, on nous annonce que pour éviter qu’il y ait des verres en plastique jetés dans la nature, on nous donne un gobelet contre une caution de un euro. J'ai oublié le mien, donc je le prends. Je trouve l'initiative plutôt bonne.

La première partie dans les bois n'est pas exceptionnelle, il y a quelques chemins sympa, dans la seconde partie, de l'autre côté de la montagne, la vue y est bien plus sympa. Le premier ravitaillement à 7 km n’est pas trop mal, beaucoup de monde, mais pas de choses faites maison... et malheureusement c'était le dernier jusqu'à la fin. 12 km pour avoir des châtaignes grillées, du cidre et de la pompe aux pommes.

Pour conclure, un beau temps, une balade agréable, mais une organisation en demi-teinte avec des parcours qui s'entrecroisent de quoi un peu surprendre les gens pas trop attentifs.

Petite randonnée en partant de la vallée de Chaudefour sur un circuit qui passe par le plus haut sommet de la région. C'était annoncé 14km et 700m de dénivelée.... et j'ai un doute sur le dénivelé cumulé positif. Mais bon, je m'en fous un peu, nous avons pris notre temps. Les paysages valaient de s'arrêter pour être vus. En plus, sans voir l'horizon, la vue était dégagée sur des dizaines de kilomètres.