2016年1月16日（土曜日）
Dernière session de séries avec un peu de retard :
この素晴らしい世界に祝福を! (Kono Subarashii Sekai ni Shukufuku wo!) est encore plus stupide que je l'imaginais. Le début est plutôt drôle, avec un Darwin Award pour commencer, et une déesse moqueuse un peu trop sûre d'elle. Dans l'ensemble, la série est parodique, avec quelques références aux jeux vidéos quelque peu détournées. Un début sympa, avec un démarrage dans un nouveau monde qui a quelques ratés...
Comme je l'avais présenté, Kazuma meurt stupidement et se trouve face à Aqua qui va lui raconter en détail commence s'est terminé sa vie en se marrant. Lui, ça ne le fait pas rire du tout. Elle lui propose de choisir entre le Paradis, qui semble un lieu un peu chiant pour un otaku tel que lui, ou un autre monde. Elle lui accorde une chose à prendre avec lui, et limite comme une vengeance, il la choisit, elle. Aqua voit arriver une autre Déesse qui les envoie dans le nouveau monde de Kazuma. Elle n'avait pas prévu cela, et se retrouve donc quelque peu rétrogradée, poussée vers la sortie.
Le nouveau monde est calqué sur un RPG, à l'instant de Hai to Gensō no Grimgar. Sauf que contrairement à ce dernier, c'est beaucoup plus burlesque : inscription à la guilde et les quêtes de merde qui ressemble plus à la maçonnerie qu'autre chose.
À la fin du premier épisode, Kazuma et Aqua ont vraiment intégré le jeu, mais absolument pas comme aventurier.
J'attends maintenant la suite. Le duo est plutôt marrant, certains clins d'œil aux jeux vidéos sont bizarres.
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Une des séries que je n'avais pas présente : プリンス・オブ・ストライド オルタナティブ (Prince of Stride - Alternative), et que j'ai démarré sur les conseils d'un collègue. La série est un peu dans la même veine que Free!, mais sur le « stride », un style de course particulière qui est expliqué pas à pas dans la série. Je ne connaissais pas du tout.
Dans l'ensemble, c'est une série à bishōnen, avec une manager, qui n'est pas vraiment l'héroïne, mais plutôt un duo, comme dans Free!. D'ailleurs, on y retrouve beaucoup de points communs, ce qui fait qu'on ne tourne pas vraiment à la série qui fait trop shōjo, mais avec une série sportif un peu tranche de vie. Le premier épisode se concentre sur la création du club, ou plutôt, sa reconstruction, évinçant le club de shōgi qui avait pris sa place.
Je ne dirais pas que c'est une grande série, mais ça se regarde assez facilement. La réalisation est plus que correcte, et la partie sportive n'est pas trop chiante. Il y a déjà deux épisodes parus.
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ラクエンロジック (Luck and Logic) est aussi une série que je n'avais pas listée. Premier point, je trouve le logo très stylé, mais difficile à lire : un style futuriste et un soupçon de ∞ (signe que l'on retrouve avez souvent). Cette série nous fait évolués dans un monde où la « logique » est au centre de tout, et les « paradoxes » sont des créatures qui viennent y foutre le foutoir.
Dans l'ensemble, la réalisation est parfois très bien, mais un peu en dent de scie. Les combats qui sont tout en CG avec des effets spéciaux plutôt stylés. Les combattants qui affrontent les « paradoxes » sont des duos dont l'un se transforme pour revenir l'autre d'un équipement spécial dont les noms (Athena, Venus, Valkyrie ou Nemesis) et représentations semblent empruntés à diverses mythologies (sauf celle qui fait service × mahō shōjo... ahh, les rubans).
On suit Tsurugi, un lycéen un peu poltron ayant perdu sa mère, qui vit avec son père et sa petite-sœur un peu trop coller à lui. Un jour, il se fait surprendre par un monstre, alors qu'il est dans un centre commercial avec sœur pour trouver un cadeau pour leur père. Et pour sauver une jeune femme, il se met en danger. Ceci est Athena, et elle le cherche, pour qu'elle devienne son Foreigner, car c'est un Logicalist. Le problème, c'est que s'il accepte, il devra quitter sa famille, ce que sa sœur n'apprécie pas du tout et elle se sent abandonnée par son frère. Elle ne réussit pas à le retenir. Il part avec Athena pour se jeter dans la bataille. Pour pouvoir combattre, ils doivent faire une trance, qui les unit.
J'ai vu deux épisodes et j'ai du mal à dire si c'est vraiment bien. Ça se regarde sans se prendre la tête, mais dans l'ensemble, c'est plutôt cliché. Il y a juste l'univers que je trouve assez sympa et cohérent. (Heureusement vu le nom.)
Note : la série est tirée d'une série de jeu de cartes, d'où le lien avec les cartes des Logicalists et l'utilisation de cartes pour certaines choses.
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Marrant, avec 最弱無敗の
Difficile de dire à dire quelque chose, car pour l'instant cela fait un démarrage déjà vu. On a tout de même le passif de prince déchu, qui se retrouve dans une école de demoiselle, mais là encore. Le bon point c'est les combats, car cela ne fait pas trop mecha, puis cet univers mi-futuriste mi-médiéval me donne envie d'en voir un peu plus. Pour certaines choses, ne me fait pas trop d'illusion, surtout après la scène où elle lui montre son signe.
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Je me suis fait violence en voulant terminer le premier épisode de 亜人 (Ajin). Je lis le manga et celui-ci est pas trop mal. Cependant, le passage en anime est pour moi un carnage. La réalisation est juste HOR-RI-BLE ! J'ai pas trop les anime-CG, mais je vois parfois cette belle chose. Ajin n'en fera pas partie. C'est plat, les décors sont passables, pas toujours bien animés, les personnages manquent de vie... La série n'est pas super joyeuse, mais je m'attendais à quelque chose de mieux. Si vous n'avez pas lu manga, peut-être que cela peut passer, pour les autres, je ne vous le conseille pas. Pour moi, le scénario ne sauve pas la réalisation.
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Un petit détour avec la série d'épisodes courts おしえて！ギャル子ちゃん (Oshite! Galko-chan ) dont les gags ne m'ont pas franchement marqué. On y suit un trio qui sont trois clichés : la populaire, l'otaku et la fille de bonne famille, qui sont, chose improbable, amies. C'est une suite de gags qui partent d'une question. Galko-chan est au centre et ce n’est pas la plus fine des trois. Elle est souvent reprise par Otako, qui peut constater sont je-m'en-foutisme assez prononcé quand il s'agit de l'école, et tous les clichés d'une gal, mais pas seulement.
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Et je termine rapidement avec la 7e saison de てーきゅう (Tēkyū), qui reprend avec la passion du trou... creuser c'est, semble-t-il, amusant. Pour le reste, c'est comme les six saisons présentes, du n'importe quoi bien prononcé avec un opening psychédélique et un rythme difficile à suivre.
