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Je commence par l'épisode destiné aux plus petits et aux nostalgiques de l'univers de Tezuka à qui cette animation rend hommage. Il s'agit d'une histoire dans un monde futuriste sans paroles autour d'une petite fille, une veille homme et de vraies tulipes dans un monde ultra robotisé.

Le style rappelle tout de suite celui de Tezuka que ça soit le character design, le style des robots et... en fait un peu tout. Pour être franc, j'ai trouvé l'épisode ennuyant. Ça se regarde, ça se comprend très facilement malgré le manque de parole. Mais le thème est tellement pas original que ça ne porte pas vraiment l'épisode. Ce qui était original il y a quelque décennie ne l'est plus et il n'en reste qu'une nostalgie qui ne m'atteint pas.

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Un peu surpris de voir ce genre de l'épisode dans Anime Mirai tellement c'est tout sauf original. Ça fait même carrément fan service... Pour moi, cet épisode n'a pas vraiment sa place ici, mais soit, admettons.

L'histoire se centre sur une fille ultra dynamique, ultra extravertie, fan de chant, qui ne semble vivre que pour ça. Par hasard, sa camarade de chambrée dans son nouveau lycée et une petite « star » sur la toile, mais dans la réalité c'est une fille ultra timide. Pour le reste, je vous laisse deviner la suite, c'est tellement prévisible. Et finalement, je me dis qu'un épisode c'est largement suffisant. Je note que la réalisation est plus que correcte.

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Au début, j'ai cru à du fan service avec du maid, mais en fait pas du tout. L'histoire est un peu à approche de Plastic Memories avec ses robots trop humains. La seule chose qui ne m'a trop plu, c'est le character design du héros. Pour le reste, ce côté rond complètement exagéré du robot donne un côté sympathique (et rétro) pas déplaisant.

L'histoire commence quand un jeune homme qui a commandé une maid robot (une soubrette robot) reçoit un modèle qui ne semble pas du tout correspondre à ce qu'il a demandé. Le modèle ressemble plus à une mère trop aimante qu'une maid sérvivable. Il a une semaine d'essai pour décider s'il la garde ou non. Il décide d'accepter. Il se rend assez vite compte que le modèle n'est pas une maid, mais bien celui d'une mère qui prend soit de son petit. En fait, c'est la mère qu'il n'a jamais eu, ce qui le met mal à l'aise.

Bon, ça se finit de façon ultra prévisible et j'ai même l'impression que les auteurs en joue un peu. Mais bon, à choisir, garderiez-vous la mère ?

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Je finis avec l'épisode qui m'a le plus fait vibré. Le jeu de mots est nase, parce qu'il s'agit d'une histoire sur le taiko. C'est pour moi la série de loin la mieux réalisée du lot (quand je parle de réalisation, c'est en tout point) que je regrette qu'il soit si court. En même temps, j'aime bien écouter les percussions et le taiko c'est vraiment entrainant.

Le cadre de l'épisode est une jeune femme devenue pro dans cet art. Elle vit à Tokyo et sa vie n'est pas aussi excitante qu'elle l'aurait espéré, même si elle continue de jouer. Elle est appelée dans sa région par son ancien prof de taiko pour s'occuper d'un groupe de joueur dans sa région natale. Elle fait un détour chez elle et revoit sa famille. En fait, son père ne semble pas avoir apprécié son choix. On revoit alors toute l'histoire de la jeune fille passionnée par l'instrument depuis quelle toute petite.

La mise en scène est vraiment bien foutue, la réalisation au poil et le thème du taiko sont vraiment quelque chose que j'ai apprécié. Je regrette qu'une chose : que l'histoire ne soit pas plus approfondie et que les passages musicaux soient si courts. Ça mériterait bien une petite série.

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