2014年7月9日(水曜日)
ハナヤマタ (Hanayamata) reprend l'histoire du manga en l'adaptant un peu, mais dans l'ensemble c'est la même chose. J'avais un peu peur pour les tenues de danse de yosakoi, mais ça rend assez bien, et en plus ça semble bien animé.
Bon, c'est sympa, mais pour une fois, c'est une seiyū qui me gâche un tout petit peu l'anime. La voix de Hana est tellement différente de ce que j'imaginais, que je n'arrive pas à m'y faire... Elle manque de caractère, trop gamine. Pour le reste, pas grand-chose à dire, si ce n'est que c'est plutôt beau à voir, féérique à certains moments. Il faut dire un sanctuaire de nuit sous les cerisiers en fleur, c'est toujours joli. C'est de la pure tranche de vie scolaire avec un groupe de filles. La réalisation plutôt bonne, je pense que je suivrais sans trop de problèmes.
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Je pensais que ヤマノススメ セカンドシーズン (Yama no Susume Second Season) serait au même format que la première saison, des épisodes très courts. Ce n'est pas du tout le cas. Les épisodes font justes 13 minutes, mais ça permet déjà de faire quelque chose de plus simple à suivre.
Cette saison fait suite à la première et commence par des rappels. La regarder ne vous prendra pas beaucoup de temps. Pour le reste, rien ne change, la montagne est toujours au centre... même si en fait, les héroïnes ne vont plus en parler et ne rêver que de les arpenter. C'est aussi plein de trucs de grimpeurs et randonneurs. Bref, ça reste de la tranche de vie toute mimi.
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J'avais bien peur que モモキュンソード (Momo Kyun Sword) soit un nid à fan service... et c'est bien le cas. Je ne connais pas très bien l'histoire de Momotarō, mais je pense que ça soit être un joli massacre de l'histoire d'origine.
L'anime reprend le héros en en faisant une héroïne moe idiote avec des seins énormes qui bougent dans tous les sens avec un décolleté qui en fait référence à la pêche. Ce fruit est un peu ce qui symbolise le héros de l'histoire d'origine, et ici il y est fait souvent référence. Bon, Momotarō c'est aussi de l'aventure et un combat contre des « oni » avec l'aide d'un chien, un singe et un faisan, qu'il doit rencontrer durant son périple. Ici, ce n'est pas le cas. Momoko est déjà entourée par ses animaux. On y rajoute aussi des divinités pas très malignes et en prime, Momo qui peut se transformer pour avoir de super pouvoirs à l'aide de l'un de ses compagnons (qui sont des dieux)... On arrive assez rapidement ensevelie sous une montagne de clichés et une démonstration presque permanente des forces physiques sur le corps (C'est bien animé... mais c'est vite lourd).
Bref, la série démarre assez mal... je m'attends pas trop à voir mieux par la suite. Ça se regarde, et la musique est sympa, mais il y a juste les « plans poitrine » qui sont très chiants.
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Je savais que le format poserait problème, l'épisode de 4 minutes ひめゴト (Himegoto) rend le tout assez inintéressant. Il y a quelques gags qui prête à sourire, mais à peine cela z commencé que c'est déjà fini.
Bon, ça reste presque une fausse histoire d'otoko no ko, à moins que cela s'engrave par la suite. Normalement ce type de personnage fait tellement fille qu'il est quasi impossible de le considérer selon son vrai sexe. On peut même avoir un doute réel sur leur sexe. En tout cas, le début ressemblerait presque à celui de Hayate no Gotoku : une histoire de parents indignes, désargentés, poursuivit par les créanciers, et un rachat de dettes. Sauf que ça fait un peu Hayate qui finit en toutou de perverse qui se sont acheté un jouet.