2013年12月12日(木曜日)
Genres : comédie scolaire, harem, fan service, délire.
Première série à se terminer, probablement la plus stupide, mais la plus délirante, sans en être trop loin. Cette série joue à mort sur le fan service avec des personnages un peu plus « exagérés » que d'habitude, et pas forcement simple décrire. C'est souvent un mélange de deux personnalités complètement contradictoires pour ce qui est des personnages féminins principaux et de grosses caricatures pour les secondes : sadique, nympho moche, loli, etc. Au mieux de ce harem sur réaliste, un héros qui est le « jouet » d'un dieu, un peu à la façon de Kokoro Connect, sauf que celui-ci a l'air d'être un hikikomori otaku qui s'amuse à donner des non-choix à son soufre douleur, car la plupart des « choix » qu'il lui propose sont un peu comme choisir entre la peste ou le choléra, avec plus de missions à remplir... Il choisit donc ce qui le fera passer le moins pour pervers quitte à le faire passer pour un fou, même si souvent ça ressemble un peu aux deux réunis.
Bon, la série est pas trop mal, mais l’amoncellement de clichés frise parfois un peu l'overdose, même si souvent cela donne plus l'impression de les parodier... Hélas, pour la plupart, ç’a déjà été fait des dizaines des fois... Bizarrement, je trouve que la personnalité totalement absurde des héroïnes qui sauve la série. La palme reste Furano qui est à la fois froid et méprisant d'un côté, et timide et fleur bleue de l'autre... Une sorte de tsudere bizarre.
L'autre truc chiant de la série, c'est qu'on ne peut pas vraiment dire que l'histoire avance... Après une introduction ultra chiante sur la question du « choix » et l'arrivée de Chocolat, une fille amnésique envoyée par Dieu avec une personnalité de chien idiot boulimique angélique (et je simplifie), je n’ai pas eu l'impression d'une vraie progression, jusqu'au non-choix final d'un prévisible énervant.
La série reste assez marrante sur certains points, mais avec beaucoup trop de choses gênantes... Je reste assez mitigé, car certains passages sont plutôt marrants et les seiyū ont réussi à donner vie à des personnages incroyables.