2013年10月2日(水曜日)
Visiblement, COPPELION a l’air d’être une sacrée série, rien que pour l’ambiance, mais aussi pour la qualité de ses décors. La série se passe dans une Tokyo abandonnée depuis 20 ans dus à une catastrophe nucléaire. D’ailleurs, on peut se demander si le manga dont il est tiré n’était pas prémonitoire des événements de Fukushima. Trop proche de l’actualité malheureuse, l’anime avait été repoussé jusqu’à ce que les choses se tasses, même si dans les faits rien ne semble réglé.
Je ne sais pas si c’est dû à ce report, mais graphiquement c’est une belle réussite. Plutôt bien animé, des décors qui fourmillent de détails rendant les décors très crédibles d’une nature qui reprend doucement ses droits dans zone devenue hostile aux hommes et de fait inhabilité.
L’histoire commence ensuivant l’arrivée vers Tokyo de trois lycéennes... en sailor fuku (pourquoi ?) en mission pour retrouver des survivants. Le premier épisode nous fait suivre ses jeunes filles qui sont des Coppelions (
Le début est pas mal. Il y a juste le character design que je trouve un peu trop... générique, même s’il y a un effet de style avec un contour des personnages très prononcé. De plus, l’héroïne ressemble trop à celle de Seitokai Yakuin-domo. Maintenant, j’attends de voir la suite. Le manga comporte 19 tomes, ce qui est long, et la série semblent pas mal se porter sur l’action, comme le montrent les PV, c’est un peu ce qui m’inquiète un peu....
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Nouvelle série KyoAni, 境界の彼方 (Kyōkai no Kanata) qui se tourne cette fois faire la fantaisie. Comme d’habitude leur style est assez facilement reconnaissable.
Tiré d’un light novel édité par le studio lui-même (c’est quand même plus simple pour avoir les droits), cet anime nous amène auprès de KANBARA Akihito (神原 秋人) qui va faire la rencontre de KURIYAMA Mirai (栗山 未来) alors qu’il pense qu’elle va se jeter du toit de l’école. Il se trouve Mirai n’est pas humaine, c’est une manipulatrice du sang, une capacité qui serait unique. Elle le transperce et se rend compte qu’il ne meurt pas, car il est mi-humain, par sa mère, mi-yōmu (妖夢 / ensorceleur de rêve), par son père. Grâce à cela, il possède une capacité de régénération qui lui permet d’encaisser le coup mortel. Elle pensait qu’il était un simple yōmu.
La série nous offre un monde fantastique un peu bizarre qui se superpose à la réalité, visible pour les gens « normaux ». L’héroïne est à la fois très forte, mais a pour point faible d’être extrêmement maladroite, ce dont semble jouer Akihito. Dès la première, Mirai rencontre un pur yōmu alors qu’elle a perdu face à Akihito, qui lui sert un peu d’entraînement. En même temps, elle ne peut le tuer. On se rend aussi compte que les personnes connectées à ce monde ne se limitent pas aux deux personnages principaux.
Cette introduction est plutôt réussie, mais difficile de se faire un avis tranché sur ce seul épisode même s’il est très à l’image de KyoAni avec une réalisation au poil.