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Avis sur les séries : Love Lab ; Servant×Service ; Senki Zesshō Symphogear G ; Stella Jogakuin Kōtōka C3-bu ; Chōjigen Game Neptune ; Futari wa Milky Holmes ; Genshiken Nidaime ; To Aru Kagaku no Railgun S ; Fantasista Doll ; Rozen Maiden ; Rō-kyū-bu! SS

2013年9月30日(月曜日)

90
Love Lab – 13 épisodes – Terminé
Genres : comédie scolaire, club de filles (école de filles).

Voilà une comédie assez marrante avec un groupe de fille qui cherche un moyen de ne plus être seule. Maki, la seitokaichō d’un collège pour filles, qui donne une image de la fille parfaite cache en fait ses délires romantiques qu’elle entretient grand cousin avec le dessin bien moche d’un garçon. Un jour, elle est découverte par Maki, celle que toutes les filles surnomment « wild no kimi », un garçon manqué qui a l’honneur de « fréquenter » des garçons. Miki devient alors le mentor, alors qu’en vérité elle n’est jamais sortie avec un garçon. Un petit mensonge qu’elle va être obligée d’entretenir...

La série ne se prend que très rarement au sérieux et ressemble un peu à tout ce qu’on peut imaginer de pire espérer conquérir le cœur d’un garçon. Bref, un groupe qui passe son temps avec des jeux stupides dans la pièce du seitokai. Heureusement, le groupe n’est pas trop fermé sur lui-même, il y a pas mal d’interaction avec l’extérieur comme les garçons que Miki a connu.

Dans l’ensemble, c’est bien marrant. Les gags sont un peu gros, les personnages sont clichés, mais ce n’est pas toujours prévisible. Dans le groupe, une seule a vite compris que Miki a menti et s’amuse de la voir s’enfoncer. Maki ne sait pas non plus que tout le monde lui a donné un surnom. Quand le découvre et cherche à s’en défaire, ça devient à mourir de rires. Les délires Maki sont parfois assez terrifiants... entre l’image et la réalité, il y a un océan pour ceux qui la connaissent.

Comme vous l’aurez compris, je me suis bien amusé à la série, et j’attends une saison 2.

89
Servant×Service – 13 épisodes vus – Terminée
Thèmes : tranche de vie, comédie, monde du travail.

Autre série bien marrante, qui pour une fois ne se passe pas avec des lycéens, mais dans un service public : une mairie de Hokkaidō. Trois nouvelles recrues arrivent dans ce service alors qu’il vienne juste de sortir de l’université et appréhende un peu le monde du travail. Comme dans la série Working!, on se rend vite compte qu’il ne travaille pas des masses et que c’est du grand n’importe quoi.

Dans le groupe : une fille avec un prénom composé tellement long qu’il est impossible de s’en souvenir, un type qui pense qu’à ne pas sécher et essaie d’avoir les adresses e-mails des toutes les filles (juste pour les avoir), une autre qui est une cosplayeuse, etc. Le pire reste le directeur, mais ça, je n’en dirais rien (c’est n’importe quoi).

Rapidement, la série rentre dans une mode qui est mélangée de tranche de vie et de gags. On se rend aussi compte des sentiments des personnages, de leurs habitudes au travail (il y a des venues régulières), et toute sorte de choses qui diversifient un peu la série sans sortie de son cadre.

Dans l’ensemble, la série est assez marrante, certains gags sont un peu gros. J’ai l’impression que le service public autorise n’importe quoi. Il est dommage que l’histoire semble s’arrêter quand ça commence à devenir intéressant.

81
Senki Zesshou Symphogear G – 13 épisodes vus – Terminée
Thèmes : S.-F., fantaisie, chant, mahō shōjo, mecha musume.

Seconde saison qui semble clore la série qui est pour moi une sacrée déception. Autant la première saison me semblait avoir un semblant de cohérence au niveau de l’enchaînement des événements... autant cette suite ressemble à un four-tout où l’on a voulu caser un maximum de choses pour rendre le scénario dynamique au prix une histoire complètement indigeste : ajouts de 3 nouvelles en ennemies, des transformations et nouvelles attaques à la pelle, des personnages ridicules, un méchant insupportable qui aurait du se faire désintégrer au bout de 4 épisodes vus les massacres qu’il cause qui s’en sort jusqu’à la fin. Ses combats limites ridicules entre les deux groupes... Des événements tellement prévisibles que cela en gâche la série.

Voilà pour ce que je n’ai pas apprécié. Surtout que la seconde saison partait plutôt bien, avec certains passages, bien que prévisibles, plutôt épiques... Pour, hélas, ne pas donner grand-chose d’intéressant. Je trouve tout de même que le concept intéressant, c’est d’ailleurs pour cela que j’ai fini la série. Les chansons sont pas mal, les combats bien foutus. C’est juste que le scénario me semble prendre trop de facilité en dérivant vers quelque chose d’un peu absurde (si on peut encore employer ce mot pour ce genre de série). J’ai quand même eu l’impression qu’il n’y avait plus que l’héroïne pour faire tenir la série sur la fin... Même si j’avais un peu l’impression de voir les Precures... Oui, les Precures.

Suite moyenne, que je ne conseillerais pas... même si j’aime bien l’univers. Pourquoi avoir foutu un méchant aussi pitoyable et pathétique ?

89
Stella Jogakuin Koutouka C3-bu – 12 épisodes vus – Terminée
Thèmes : scolaire, sport (airsoft), club de filles (école de filles).

Je crois que je n’ai jamais vu une héroïne changer aussi vite dans une série : ça passe de la cruche maladroite à la guerrière à l’œil de lynx en un rien de temps. Cette dernière rentre dans une école avec les gros cliches d’une école pour fille sauf que le premier groupe qui lui demande de rejoindre leur club est un club qui fait du jeu de survie, avec des airsofts, donc très loin de ce qu’elles imaginaient. Malgré tout, elle finit par accepter de rejoindre le club, avec un niveau très bas.

Comme je l’ai dit, la progression est rapide. L’héroïne va rapidement se prendre au jeu, au point qu’elle décide d’elle-même de changer et devenir plus agressive. On peut dire qu’à partir de ce moment c’est un autre personnage qui va épouser le jeu au point de finir par s’y enfermer en oubliant le reste. D’ailleurs, la série n’est pas spécialement drôle, même si quand un premier temps elle en donne l’air. Après l’apprentissage et la vie de club, on passe assez vite à la compétition. Celle en fait une série très dense et pour que cela tiennent en si peu de temps plutôt réussi. Surtout que le dernier épisode, c’est du bonus, et la série même réussit à casser un épisode « gakuensai ». Le jeu de survie est bien mis en avant. J’en ai fait qu’une seule fois, mais je trouve l’esprit du jeu assez bien retranscrit.

Encore une série avec un club de fille, mais avec un bon scénario. Je ne pense pas que je mettrais la série dans le groupe des séries à la Girls & Panzers, ici c’est beaucoup plus réaliste... sans trop l’être.

85
Chōjigen Game Neptune – 13 épisodes vus – Terminée
Thèmes : fantaisie, fan service, délire.

Ça va être dur d’être relativement objectif sur la série. Ayant toute la série en jeux vidéos, je suis un fan de l’univers de la série, que je trouve assez bien retranscrit dans l’anime. Cependant, je trouve certains passages assez moyens par rapport à ce que j’ai pu voir dans les jeux. Heureusement, Neptune est toujours là pour me faire rire, ainsi que Pururut est sa belle transformation que personne ne veut voir.

L’anime se divise en plusieurs arcs avec des fins toutes aussi stupides les unes que les autres. En même temps, l’univers est un monde où les consoles des jeux sont des déesses personnifiées qui ont deux états : enfant humaine et déesse adulte. Elles sont chacune à la tête d’un pays qu’elles font prospérer à leur manière (enfin sauf pour Neptune qui est une glandeuse invétérée). On y voit les filles de tous les épisodes vidéo ludiques, pas vraiment amenés de la même façon... d’ailleurs, je n’ai pas vraiment vu de rapport entre les scénarios si ce n’est une série de clins d’œil que ceux les joueurs verront...

On ne peut pas dire que ça vole très haut, mais il y a un truc qui me plaît dans la série. Ça ne se prend jamais au sérieux, il y a plein de références aux jeux vidéos sans que ça devienne du jeu vidéo comme le fond d’autres séries... Après, je peux comprendre que l’on n’aime pas. Personnellement, j’étais déjà bien content et surpris qu’il y ait un anime, je préférais ne rien en attendre pour ne pas être déçu. Pour moi, c’est avec joie que je peux voir le monde du jeu un peu mieux rendu que dans le jeu qui n’a pas les mêmes moyens pour rendre l’univers. (Je me demande ce que ça donnerait avec Mugen Souls.)

84
Futari wa Milky Holmes – 12 épisodes vus – Terminée
Thèmes : Comédie, fantaisie, détectives-voleurs.

Voilà une troisième saison assez décevante par rapport aux autres. Où est l’humour de la série ? Où sont les références débiles ? Où est le finale absurde ? Pourquoi voit-on si peu les Milky Holmes ?

Cette fois l’histoire ne se centre sur un duo de jeune fille qui rêve d’être les Milky Holmes qui vont se trouve face à un groupe de voleurs. L’univers reste celui de la série, l’humour en moins, sauf quand les Milky Holmes sont présentes. Et ça, je trouve que c’est bien dommage. Les épisodes sont déjà deux fois plus courts, je ne les trouve pas très intéressants et finalement plus enfantins. Enfin enfantins sans les petits trucs décalés de la première série.

Ce qui n’arrange rien, c’est que la première partie est consacrée à une émission avec les seiyū de la série. Amusant deux épisodes... puis finalement assez chiant. Je ne peux pas dire si ça s’améliore sur la fin, j’ai assez vite arrêté de regarder la première partie.

La série n’est pas vraiment mauvaise en soi, juste un poil moins amusante. Le scénario est limite trop construit par rapport à l’anime TV, mais pas assez à côté des OVA. Ça fait un peu la série qui cherche à recentrer la série, hélas en lui faisant perdre un peu trop de son identité.

88
Genshiken Nidaime – 13 épisodes vus – Terminée
Thèmes : comédie, vie de club, université, otaku.

Nouveau cycle pour Genshiken qui se centre davantage sur un nouveau personnage un poil compliqué. La plupart des protagonistes sont toujours présents, ceux qui ont quitté l’université moins. Les nouveaux personnages sont majoritairement féminins et ça tourne un peu au club de fujoshi... La série reste toujours dans l’idée avoir un semblant de réalisme, tout en ne cherchant pas trop à connecter le groupe à la réalité. Bref, un monde d’otaku vu par des otaku.

Le nouveaux héros ou héroïne est au centre la série. C’est un garçon, mais qui s’habille en fille, avec deux personnalités en lui. On peut dire qu’il est un peu schizo, comme si un cœur de fille lui dictait un peu sa conduite. On voit d’ailleurs assez souvent cette présence féminine qui l’habite venir lui parler. D’autre part, c’est un fan de BL (romances homosexuelles masculines érotiques), mais il ne se dit pas gay. Ça en fait une belle curiosité qui va être un peu le fil de l’histoire. Autour, les rencontres, les histoires de cœur et autres anecdotes des membres du club. C’est assez plaisant à suivre et ça se finit presque trop rapidement.

Une nouvelle saison plutôt réussit, qui tranche un peu du premier cycle. Le « monde otaku » est presque moins présent. La réalisation est toujours aussi bonne et ça ne donne pas l’impression d’un changement de studio.

90
To Aru Kagaku no Railgun S – 24 épisodes vus – Terminée
Thèmes : S.-F., action, super pouvoirs.

Seconde saison qui fait la part belle aux « sisters » avec une construction scénaristique radicalement différente de sa série mère, Index. Chaque arc fait partie d’une tout bien plus évidente dont la conclusion ne se trouve qu’à la fin de la saison. Je dois dire que pour ça je préfère Railgun, même si j’ai une préférence pour l’univers d’Index qui intègre la magie, ce que ne fait pas celle-ci qui se centre uniquement sur les espers. Il y a tout de même des ponts entre les deux séries qui nous permet de voir le Tōma et apercevoir Index (qui est un personnage de magie pure).

Toujours autant d’actions, toujours autant de mystères, toujours un casting cent-pour-cent féminin... d’ailleurs sur la fin, ça finit par devenir un peu gros. La série se centre principalement sur les clones qui sont les « sœurs ». Mikoto est au centre tout, un personnage très fort avec un pouvoir immense, qui est en fait une énorme source de problème. Il est tout de même étonnant de la voir face à des adversaires qui la dépasse comme Accelerator. Les combats n’en sont finalement que plus intéressants, évitant les victoires faciles, mais rendant peut-être certains un peu trop longs.

Cette suite un poil plus sérieuse que la précédente, mais on retrouve tout de même certains gags propres à la série. Kuroko est toujours aussi follement amoureuse de Mikoto qui, elle, a toujours des goûts de gamine de primaire. Malheureusement, comme cette dernière est toujours à vouloir détruire la source de ses problèmes, elle est souvent seule dans sa quête, préférant ne pas mêler ses amies. Une grosse partie de l’histoire est solitaire, un peu plus sombre. Ça ne rend pas la série moins intéressant pour autant.

84
Fantasista Doll – 12 épisodes vus – Terminée
Thèmes : amitié, jeu de cartes magiques, club de filles, combat.

À la vue de la série, j’avais pensais à une série pour enfant... mais vu l’heure de programmation (à minuit ou après), j’ai eu un peu de mal à comprendre. C’est le genre de série avec une héroïne bien jeune qui se retrouve au milieu d’une histoire avec des combats plutôt légers, de la magie, etc. Il se trouve que les cartes abritent des personnages numériques qui peuvent prendre vie : les « dolls ».

Rapidement, ses cartes vont être ses amies, un groupe de cinq filles qui vont l’aider à lutter contre d’autres possesseurs de cartes qui ont généralement aussi cinq filles. Avec ses cartes, tout un tas d’accessoires qui ne ressemble en rien à ce en quoi on pourrait s’attendre. Des objets assez banals peuvent servir d’aide si on arrive à trouver une façon ingénieuse de les utiliser. Ça ne va jamais bien loin... Et les ennemis ne sont jamais vraiment méchants...

La réalisation est bonne, tout ce qui tourne au tour des cartes est assez bien foutu, mais je trouve l’histoire un peu trop gentillette. On est à la limite du Sakura où l’on finit sans méchant. Puis je trouve dommage qu’il n’y ait que des filles parmi les « dolls »... Au bout d’un moment, j’avais l’impression d’une joji-anime (anime pour fillettes).

87
Rozen Maiden – 13 épisodes vus – Terminée
Thèmes : fantaisie, mystère.

Suite de la série Rosen Maiden sans vraiment en être. La série part d’un monde parallèle à la série où Jun n’a pas rencontré les poupées. Il est à l’univers, travaille dans une librairie où il est méprisé par son supérieur et il n’a aucun ami. Bref, une vie solitaire morne qui va être rompue par lui-même, plus jeune, de la dimension où les poupées existent. Ce dernier est enfermé dans le N-field et demande de l’aide à son lui-même, qu’il pense être le seul à pouvoir l’aide. Une rencontre qui va finalement le changer comme les poupées avait déjà changé un poil Jun.

La série prend un graphisme bien différent des précédentes saisons, avec des décors réalisés d’après photos, plus réalistes, mais aussi très graphiques. Un trait plus mature. Cependant, l’esprit de la série reste là. Toujours autant de mystère, l’Alice Game dérive peu à peu entre les deux dimensions. À côté de cela on suit la vie du Jun adulte qui rencontre une personne qui ressemble beaucoup à sa sœur, qui va l’extirper de sa solitude.

Cette nouvelle série s’achève en plein milieu de l’histoire... Il ne reste plus qu’à espérer que la suite arrive assez rapidement.

84
Rō-kyū-bu! SS ~ – 12 épisodes vus – Terminée
Thèmes : Sport (Basket ball), loli, kawaii.

Seconde saison qui est grosso modo à l'image de la première : du fan service, des matches, des entraînements et surtout la vie des filles du club de basket. Cette seconde saison fait doubler les filles d'abord rivales en deux clubs distincts : cinquième et sixième années. Les diverses rencontres avec des adversaires extérieurs vont les habiter à jouer plus collectives, et se renforcer au niveau de leurs points faibles. À côté, on suit Subaru et sa relation avec les filles. Son amie d'enfance le rejoint pour s'occuper les cinquièmes années, ce qui va lui permettre d'être plus souvent avec lui (pour qu'on ne lui pique pas).

Côté fan service, la série aurait pu nous éviter certains passages qui n'arrange pas trop la série. Déjà que les filles ne donnent vraiment pas l'impression de faire du basket-ball, rajouter des scènes limites lolicon ne les arrange pas. C'était déjà le cas dans la première saison...

Les matches semblent prendre plus d'importance. Tomoka et ses amies rencontrent des adversaires toujours plus fort et ne sont pas toujours à même de gagner. Je ne suis pas super fan de ce genre de passage, surtout quand il est bien à rallonge, mais ça la mise en scène y est plutôt réussie.

Bon la saison devrait être la dernière, vue que la série se termine quand Tomoka entre au collège.

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