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Cette suite est une série s’inscrivant dans le « Project MILKY HOLMES » fait suite aux deux premières saisons. Le titre ressemble bizarrement à « Futari wa Precure », une série de mahō shōjo qui est à l'origine de la très longue série des Precure. La série faisant des références à toutes sortes de séries, mais principales d'œuvres illustrant des détectives, je ne m'étonne pas.

Cette nouvelle saison qui se passe deux années après la fin de la seconde et place en héroïnes, non pas les Milky Holmes, mais un duo des jeunes filles désirant devenir comme elles. Il faut dire qu'elles ne savent pas qui elles sont réellement et n'ont que l'image enjolivée que les médias produisent du quatuor de flemmardes stupides et ingénues. D'ailleurs, il semblerait que donner une bonne image d’elle-même les épuise.

Concernant le duo que l'on suit, il s'agit de TOKIWA Alice (常盤 カズミ) et MYŌJINGAWA Alice (明神川 アリス), deux filles pas très sûres d'elles qui rêvent d'égaler leurs aînées et pour ce faire vont devenir les Feathers, pour lutter contre un groupe de criminels. Ils ne restent plus qu'à espérer qu'elles soient plus dégourdies que leur modèle et leurs adversaires un peu moins bizarres.

Note pour finir, la série n'est composée que d'épisode de 12 minutes, sur une plage de 30 minutes.La première partie est consacrée à une émission animée par les seiyū des Milky Holmes... On ne peut pas dire que ça soit franchement intéressant de les voir aller dans une usine pour voir comment sont confectionnés les gâteaux fabriqués à la chaîne.

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Troisième saison qui fait un petit bon sautant quelques conquêtes pour nous lancer directement à la recherche des déesses. La série prend une nouvelle tournure maintenant qu'il ne s'agit plus de sauver des filles des kaketama, mais de sauver Kanon de la mort avec l'aide des cinq déesses. Problèmes, seule celle en Tenri est découverte. Keima doit trouver dans ses conquêtes précédentes qu'elles sont celle qui pourrait abriter une déesse, mais pour ce faire, il doit faire en sorte qu'elles se souviennent de leur rencontre passée.

Dans les grandes ne ligne pas de grand changement, si ce n'est que le fantastique prend une place encore plus importante dans la série. Les mauvaises démones entre en scènes, mais cela n’empêchera pas Keima de continuer à analyser les situations comme dans ses jeux vidéos, même si ce concept commence à sacrément avoir ses limites. En tout cas, le coup d'Elsie qui remplace Kanon, et Haqua qui remplace Elsie est bien amusant.

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La série fait suite à la première saison avec toujours au centre d'un club de basket-ball féminin d'une école primaire avec un lycéen comme entraîneurs. Dans l'ensemble, la série ne change pas de format, le sport prend une grande importance, mais les à-côtés restent majoritaires. Un truc qui reste gênant, c'est que j'ai l'impression que la série tourne encore plus au « loli » que ne l'était la première saison avec encore plus de romance. Certaines scènes sont inutiles au possible, ce qui est assez navrant.

Pour ne pas tourner en rond, de nouveaux personnages viennent s'ajouter à la liste pour former en plus du groupe des sixièmes années, celui des cinquièmes années, qui fait un peu celui des petites sœurs. On y retrouve : la petite sœur de Hinata, HAKAMA Kagetsu (袴田 かげつ) ; une franco-japonais, Mimi Balguerie (ミミ・バルゲリー), que la père de Subaru ramène d’Hawaii qui va devenir la rivale de Tomoka ; les jumelles TAKENAKA Tsubaki (竹中 椿) et （TAKENAKA Hiiragi (竹中 柊) ; une amie d'enfance de Saki, FUJII Masami (藤井 雅美). Ce nouveau groupe sera entraîné par Aoi, histoire de se rapprocher de Subaru.

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Qui lut crut, une nouvelle saison pour Genshiken. Il faut dire que la seconde saison du manga est en court depuis un petit moment au Japon. Il ne s'agit pas vraiment d'une troisième saison, mais de la seconde génération (nidaime). On y retrouve quelques personnages qui n'ont pas fini leurs études avec qui vient s'ajouter de nouveaux membres, presque uniquement des femmes... Limite de quoi transformer le Genshiken en cercle de fujoshi. Les anciens personnages ne sont jamais bien loin, mais passés en personnage secondaire.

Pour l'instant, après 4 épisodes, j'ai bien l'impression que c'est le personnage le plus décalé sur qui porte toute son attention... Il faut dire que c'est à la fois un cliché et un personnage ultra matinal. La série essaie un tant soit peu d'être réaliste, c'est d'ailleurs cela qui rend la série humoristique. Parmi les nouvelles recrues, on retrouve donc HATO Kenjirō (波戸 賢二郎), YAJIMA Mirei (矢島 美怜) et YOSHITAKE Rika (吉武 莉華). Le thème reste grosso modo le même, la vie à l'université un cercle d'otaku avec cosplay, manga, conversion, etc.

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La série fait suite à la première saison. Pas de gros changement de rythme, c'est toujours de la tranche de vie fuwafuwa... On retrouve les quatre filles de la première saison avec en son centre Fū, avec l’appareil photographique de son défunt père.

Dans cette saison, Fū crée un club de photographie, et bien entendu, il faut cinq membres, ce qui ne va pas trop l'arranger. Heureusement, une cinquième fille vient rapidement se rejoindre au groupe : MITA Kanae (三谷 かなえ), armée d'un Pentax Q. Fū devient la buchō de son club, un titre qu'elle à du mal a assumé, car c'est une héroïne qui plane au-dessus des nuages.

Pas de grands changements, la série fait toujours dans l'ambiance douce et légère avec un coté un peu rétro, style : « c'était mieux avant ». Malheureusement, j'ai tout de même l'impression qu'il y a une baisse de qualité dans la réalisation... Certains passages sont sacrement mal animé.

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La fin de la série ne laissait aucun doute sur une éventuelle suite et elle est arrivée plus tôt que je le pensais. Cette seconde saison pour l'histoire après l'ultime combat qui ne concluait pas la fin de la bataille contre les noises. Bien entendu, pour la suite, il faut de nouveaux ennemis, des créatures encore plus redoutables, pour qu'elles puissent faire barrière à la force démoniaque du trio qui a survécu... ou plus particulièrement celle de l’héroïne, Hibiki.

La série reprend après un premier épisode assez décevant, la suite reprend sur un rythme plus intéressant à mes yeux. Je trouve tout de même que les combats prennent une part un peu trop importante juste là. Pour le reste, l'esprit de la série reste le même, avec de nouveaux adversaires que Hibiki n'a pas spécialement envie de combattre, car possèdent les mêmes pouvoirs mis au service de la cause adverse. J'espère que la fin sera aussi épique que la première saison et que l'histoire entre Hibiki et Miku va un peu progresser.

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L'histoire reprend du début avec une réalisation rehaussée. Le premier épisode est un peu étrange, et semble partiellement et maladroitement résumer l'histoire de la première série. En fait, il ne faut pas ce fier à celui-ci, car il peut faire penser à un remake foiré. En fait, ce n'est qu'une introduction à une histoire de Rosen Maiden si Jun avait refusé de recevoir son colis en entourant 「まきませんか」 (makimasen ka) sur une feuille qui ne lui proposer que deux choix sans nulle explication et qu'il n'ait alors pas rencontré Shinku.

C'est à partir du second épisode que l'histoire commence vraiment. Jun est maintenant à l’université. Il a passé une partie de son enfance enfermée chez lui, seule avec sa sœur comme seul contact. Il a à présent un baito dans une petite librairie. Il vit seul dans un petit appartement. Il n'a pas d'ami, solitaire, il ne parle à personne sauf quand cela lui est imposé... Bref, il n'a pas changé, si ce n'est qu'il est devenu plus adulte. Ses peurs restent encrées en lui, et son passé d'hikikomori le poursuit. Bref, un démarrage assez sombre. Sa vie incroyablement routinière et sans intérêt va changer quand un livre va arriver dans ses mains à la librairie, comme si le passé cherchait à lui parler.

J'ai failli m'arrêter au milieu du premier épisode pensant que c'était un piètre remake de la série, puis par curiosité j'ai continué. Il faut dire, tout semble le faire penser. Le premier épisode n'est constitué d'événement de la première série. Bon, heureusement qu'Ali Project est encore à la chanson de l'opening... Dans ce dernier, deux Jun se font face, de quoi se poser quelques questions.

* Au Japon, le manga de la première partie s'appelle Rozen Maiden au Japon, avec l'écriture latine. La seconde partie se nomme de la même façon, mais en katakana : ローゼンメイデン (Rozen Maiden). Les deux séries ne sont pas éditées par la même maison d'édition, cela ne pause visiblement pas de problème. En France, pour éviter la confusion, et parce que c'est le même éditeur qui édite les deux séries, la seconde prend une distinction de saison.

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La première saison de cette série de démons très ecchi s'était achevée en cours d'histoire. Celle-ci reprend avec toujours autant de tétons et de culottes avec l'arrivée de nouveau membre de clergé pour leur faire face. Bref, la série ne change pas trop, mélange d'action où les fringues partes presque toujours en lambeau et un héros qui malgré son air niais, idiot et pervers réussit à avoir deux filles dans son lit. Dans cette suite, l'ami d'enfance d'Issei fait son entrée, mais dans l'autre camp, donc comme adversaire. Mais pour combien de temps ?

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