Samedi 8 Mars 2008
Petit mise à jour de la galerie des membres avec l'option par genre qui permet d'avoir la liste des genres avec le nombres d'images liées. Le nombre n'est pas complètement représentatif du total car pour, par exemple, pour « artworks » cela ne prendre pas en compte les images soumisses à restriction d'âge (quelque soit votre niveau de restriction). J'avoue que ce point peut-être sujet à changement. J'ai aussi mis une petite description... que de toute façon presque personne ne (lira) respecte les genres, donc je ne me suis jamais fait trop d'illusions à ce niveau (cela représente l'idée de départ).
L'ajout de cette partie à créer d'autres petite changement comme de pouvoir éditer une images depuis n'importe où (ce n'était pas le cas dans la galerie ressemblant tout les membres), et le fait que le lien « Sa galerie » garde en mémoire la clef ou le genre.
Voilà si vous avez d'autres idées, elle sont les bienvenues.
Il faut croire que les piqures de rappel ne servent à rien... vu le trop peu de visite sur la galerie, cette page sera la dernier. Avec dernièrement une moyenne de 6 visites par image, c'est bien trop faible pour les presque 2 Gio que prend l'ensemble de la galerie. Bref, pour moi c'est trop de boulot pour trop peu de personne. Je vais me concentrer sur les « wallpapers du jour » qui semblent intéresser plus de monde. Les scans resteront en ligne mais à partir de la semaine prochaine il faudra être membre pour les voir, et les membres + auront accès aux 45 pages des scans (soit plus de 1200 scans).
J'ai hésité hier à regarde le 劇場版 CLANNAD -クラナド- (Gekijoban / Le film) (toei) et... j'aurais du m'abstenir. Je sais maintenant comment va se finir la série... J'avais deviner une partie, mais il y en a une autre que je n'espère pas revoir... mais pour que le fin soit logique il ne me semble pas qu'il y ait d'autres issus. La fin est à la fois triste et joyeuse.
La réalisation du film n'a rien à voir avec l'anime de Kyoani, c'est à la fois mieux et moins bien. En fait, c'est très hétérogène, les décors sont pour la plus part très réussis ainsi que l'animation. Mais le tout est réalisé de façon assez vieillotte (année 90) dans sa forme. Beaucoup d'effets assez moche, et plan répétés qui font pas terrible... Bref, je suis assez déçu même si je dois dire que c'est assez bien réalisé... pour une série. Pour un film c'est assez moyen.
Un conseil, veuillez vous arrêter ici, si vous suivez la série et que vous compter pas connaître la fin d'une autre façon. :)
Pour ce qui est de la narration ça se fait en trois partie : le printemps, le théatre et la vie adulte. La série n'a pas encore achevé la deuxième partie, et je ne pense pas que l'on puisse faire la dernière en beaucoup d'épisode (à moins de créer une descente aux enfers encore pire). Pour ce qui est de personnages certains n'apparaisse pas (ou sur un plan... je crois, pour Fuuko).
Pas de scénario pour Fūko (elle n'y est pas), mais sa sœur IBUKI Kōko (伊 吹公子) (qui elle y est bien), pour SAKAGAMI Tomoko (坂上智代) qui n'est pas directement seitokai-chou, mais soutenue par FUJIBAYASHI Kyō (藤林杏) (qui deviendra la fuku-kaichou), pour ICHINOSE Kotomi (一ノ瀬 ことみ) qui dirige la chorale (de chants religieux) de l'école. Ryō est un personnage secondaire dans le jeu, et est inexistante dans le film. >YOSHINO Yūsuke (芳野 祐介), le senpai des garçons, est bien plus présent que dans la série, à vrai dire c'est même un élément important du film tout comme Kōko. Les parents de FURUKAWA Nagisa (古 河 渚), FURUKAWA Akio (古河 秋生) et Sanae FURUKAWA (古河 早苗) ont toujours leur pan-ya (boulangerie) et leur fille aime toujours les anpan. Et enfin SUNOHARA Yōhei (春原 陽平) fait carrement parti des personnages principaux avec Nagisa et OKAZAKI Tomoya (岡崎 朋也). Bref, moins de personnages et une répartition des rôles un peu différente.
Le
Printemps :
Pour ce qui l'histoire, comme le film fait 93 minutes il y a pas mal de
changement. On commence de la même façon avec la rencontre de Nagisa et
Tomoya. On notera qu'elle va directement l'appeler par son prénom (ce
qu'elle ne fait toujours pas au vingtième épisode de la
série). Yōhei
semble voir tout de suite qu'il y a quelques choses entre eux, même si
ils ne savent pas et reste toujours au prés d'eux pour les aider.
Nagisa veut créer un club de théâtre et le première épreuve sera
d'affronter le setokai
tenue par Komoyo et Kyō. C'est
une grande fan de la « grand
famille des dango » (Ça ne vaut vraiment pas la
chanson d'ending
de Kyoani) et elle va se lancer dans la création d'affiche dans le but
de promouvoir son club. Mais comme elle est en troisième année ça ne
l'aide pas des masses (surtout qu'elle n'a pas beaucoup été présente au
lycée). Heureusement elle va avoir le soutient de leur prof, Kōko , qui
va en quelque sorte le prendre en charge (c'est une experte en art
martiaux ? Vu comment elle remet Yōhei à sa place, qui lui aussi
n'est pas mauvais). Malheureusement, malgré
l'inondation d'affiches elle va reste seule dans son club. Les garçons
en font partie sans vraiment l'être. En parallèle, on voit comment
Tomoya subit son abandon de son père qui ne s'est jamais remis se la
mort de sa femme. Cela se manifeste par des rêves étranges qui se
suivent.
Le
théatre
Après avoir réussi a créer son club,
même si elle est seule elle pour suit. Toujours aider des deux garçon.
Yōhei
a besoin d'argent va être moins présent et pousse Tomoya vers Nagisa.
D'ailleurs, il va rapidement connaître la famille de Nagisa et
rencontrer Sanae oujours
aussi joyeuse et proche de sa fille. Akio lui pas se
charger de Tomoya. Il semble qu'il aime le taquiner pour le tester.
Bref, des parents pas dupes (comme dans l'anime :P) de ce qui se trane
entre les deux jeunes. Rester un peu chez la famille de Nagisa va
semblait étrange, lui qui n'a jamais vraiment l'affection et l'autorité
d'un père et d'une mère. Nagisa va
présenter une pièce pour le bunkasai,
une œuvre originale qu'elle va écrire avec Tomoya a ses côtés pour la
soutenir. C'est d'ailleurs pour cela qu'il se retrouve chez elle, il
semblerait qu'un part de lui soit effrayé par cela. Et le festival
arrive dans la joie et la bon humeur... sauf pour Nagisa qui n'a pas
finit d'écrire sa pièce. Cependant, comme c'est quelque chose qu'elle
connait très bien, elle va la jouer sans même l'avoir achevée. Une
épreuve au final plus dur que prévu. Heureusement Tomoya va lui
retourner
courage et confiance en elle. Le soir elle monte sur scène, et c'est en
robe de mariée (celle de sa mère) qu'elle joue seule, ce qui semble
être l'autre face du rêve de Tomoya. Il s'en rend compte au mieux et
est
complètement perdu. Quand Nagisa a fini sa pièce et que le rideau
est baissé, il court vers elle pour lui déclarer sa flamme.
La
naissance de Ushio
Quelque année plus tard, Tomoya a perdu le goût de vivre, et est cher
lui à se morfondre. Ces amis, Komoyo et Yōhei viennent le voir
(et pas forcement de tout près, car ce dernier à pris le shinkansen).
Ces derniers sont maintenant dans la vie active, et essaie de faire
bonne figure pour essayer de redonner l'envie de vivre à leur ami.
Cela semble vraiment dur de le voir aussi bas car Nagisa n'est plus.
Quelques flash-backs nous font comprendre ce qu'il s'est passée. Le
couple s'est marié et avec l'aide des parents celle qui est maintenant
sa
femme et leur amis, le tourtereaux commencent une vie heureuse. Malgré
cela Nagisa est toujours
fragile. Les jours heureux s'arrête pendant la grossesse de Nagisa
qui est sujette à complications à cause de son corps faible. Elle la
mène
jusqu'à son terme mais n'y survie pas. Les parents de Nagisa prennent à
leur charge leur fille OKAZAKI Ushio (岡崎 汐). La mort de Nagisa
lui fait complètement oublie l'existence de sa fille et il faudra que
son père arrive pour lui dire qu'il reproduit le même schéma que lui.
Tomoya semble ne pas s'en rendre compte et c'est pour cela qu'il va
parler à tout ses amis pour l'en sortie. Et ces dernière font créer un
petit scénario pour le sortir brusquement sans son consentement de son
fermement. Ils sont tous invités à un spectacle avec la « grande famille des dango
». Mais Nagisa étant décédé, il pense à un plaisanterie de très mauvais
goût. En fait, c'est un prétexte pour lui faire comprendre qu'en
s'accrochant à Nagisa il laisse le côté une chose très importante dans
sa vie, celle d'être un père. C'est en voyant Ushio avec un dango dans ces bras
qu'il prend enfin qu'il doit la protéger, c'est maintenant ça raison de
vivre avec le souvenir heureux de sa femme.