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Bilan : NO-RIN ; Wake Up, Girls!

Vendredi 28 Mars 2014

La comédie romantique dans une cadre de lycée agricole se termine en queue de poisson comme presque toutes les séries du genre jamais fichu d'aller jusqu'au bout. のうりん (NO-RIN), contrairement à Gin no Saji, n'est pas franchement une série sérieuse. Enfin, ce que je veux dire c'est que les délires sont plus décalés, sur sorte de BakaTest agricole avec une histoire proche de l'absurde.

Une idol qui lâche tout pour se rendre dans un lycée agricole pour retrouver l'un de ses fans. Celui-ci se trouve tout le temps avec son amie d'enfance qui s'imagine qu'elle va se marier avec lui et un ami qui donne l'impression d'être sérieux avec des goûts bizarres. En rejoignant ce groupe, elle va découvrir l'agriculture avec une approche particulière. Mais ce ne sont pas les seules originales de cette série, les autres sont bien plus décalés.

La série est assez amusante, même si je trouve que Minori un peu ridicule : un peu idiote, à la poitrine énorme, qui s'imagine que marié à Kōsaka. Dans certaines scènes, elle va suivre tous ses délires (pervers) de celui-ci, elle donne une image très dégradante. Ce n'est pas comme si ce n'est pas courant, mais je trouve qu'ici c'est particulièrement exagéré.

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Wake Up, Girls! (WUG) pourrait passer pour un clone de THE IDOLM@STER, une histoire d'un groupe d'idol qui monte. Sauf qu'il me semble que WUG donne une image un poil plus réaliste du milieu. Ça se ressent dans le style graphique, dans l'idée d'ancrer l'histoire à Sendai (ville largement médiatisée il y a 2 ans), et une présentation plus cruelle du milieu. I-1 Club fait étrangement penser à la grosse machine AKB48, avec un nombre énorme d'idol recrutées qui ne va sélectionner que les meilleurs correspondant à l'image de la « marque ».

Dans l'histoire, le groupe par de zéro, ou presque dans une petite boîte au bord de la faillite, qui va progressivement monter en grade pour dépasser le cadre local avec son petit groupe de fans (et faut voir les quelques). Parmi elles, une ancienne de I-1 Club qui a tout lâché, car elle ne supportait pas son fonctionnement, cherchant un groupe où elles ne sont pas des rivales perpétuelles, mais de véritables amies.

En douze épisodes, j'ai eu l'impression qu'après un début difficile tout semblait aller assez vite. J'aurais bien vu la série plus longue, même si elle réussit à s'attarder sur les sept filles du club, une fois la présentation faite et la première marche gravies, la série s'arrête. Ce n’est pas trop mal, les personnages ne sont moins caricaturaux que dans Idolm@ster, mais ça reste une série d'idol qui donne une impression de déjà-vu.

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