Samedi 16 Mars 2013
Première journée de salon en demi-teinte. Ça s'est passé exactement comme je l'imaginais, en limite pire. Le programme ne donnait pas spécialement envie... et j'ai réussi à rater la seule conférence qui m’intéressait. J'ai donc fait ce que je pensais : discuter avec des gens et prendre en photos les cosplayeurs.
La partie culturelle était reléguée dans un coin bien discret et discuter un peu avec quelques intervenants m'a permis d'apprendre certaines choses pas très jolies jolies vis-à-vis de la vision du staff de ce qu'est un salon sur le Japon. En fait, comme la salle de concert est dans la même pièce que le karaoke et les conférences, je ne vous dis pas le brouhaha (et je suis gentil), qui, au bout de quelques heures, a fini par être à la limite du supportable. Heureusement que les Efferalgan existent. Pour les intervenants qui besoin de parler pour expliquer, les conditions étaient compliquées... Et pour avoir parlé avec quelques personnes qui ont passé la journée sur le salon, le ressenti à l'air d'être partagé... Très loin du staff qui a l'air de penser que Japon égale « Akiba avec de la musique techno ». D'ailleurs, si j'ai plus d'infos demain, j'en dirais plus.
J'y retourne demain... avec un programme aussi épais. J'ai bien peur de même ne pas réussir à tenir jusqu'aux concerts. Il n'y a pas grand-chose d'intéressant au niveau des boutiques : j'ai acheté du thé et mon negi en pelluche... Bugdet : 28 €. Je n’aurais jamais aussi peu dépensé sur une première journée de salon. La majorité des stands sont tenus par des Asiatiques non japonais qui vendent ce qui est pour moi de la contre-façon, et le pire c'est que certains sont vraiment chers. Les autres sont noyés aux milieux...
Heureusement que j'ai pu faire un resto après, ça m'a permis de rependre un peu. Beaucoup de monde, un son presque aussi fort que dans une fête, debout à piétiner toute la journée, pour finalement pas grand-chose. Si, j'ai rencontré plein de gens passionnés avec qui c'est toujours agréable de discuter. Certains font des choses que je n'oserais jamais.