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Présentation : Aoi Hana, Taishō Yakyū Musume, Princess Lover!, Kanamemo, GA Geijutsu-ka Art Design Class, Sora no Manimani, Ōkami to Kōshinryō Ⅱ, Tōkyō Magnetude 8.0

Samedi 11 Juillet 2009

Me revoilà pour un week-end. Je n’essaie même pas de rattraper mon retard, c'est peine perdue donc, je fais juste faire de courtes présentations de ce que j'ai eu le temps de voir.
J'ai déjà fait des présentations assez détaillées le mois dernier, alors je vais me contenter de compléter, voir corriger ce que j'y ai mis.

Je commence avec un peu de yuri : 青い花 (Aoi Hana) dont le premier tome du manga vient de sortir récemment en France. Je dois dire que je ne l'achetais pas, trop rebuté par le dessin contrairement à l'anime. Enfin..., on verra jusqu'où va l'anime. Seulement 11 épisodes sont programmés.

Cette série est un yuri qui semble ne pas se limiter à voir des filles se regarder dans le blanc des yeux (Bha... je préviens). L'ambiance graphique correspond bien au style, des personnages ronds et une ambiance aquarellée.

La série partage deux univers qui se rencontrent.
Celui de Fumi-chan est un lycée pour fille tout ce qu'il y a de plus classique. C'est une fille plus grande que la moyenne qui est sans caractère. D'ailleurs, elle se fait trainer un peu partout et entre dans un club de basketball en pensant que c'était celui d’arts et lettres. Amoureuse de sa cousine qui la quitte pour se marier avec un homme, c'est tout son univers qui s'écroule.
Celui de Ā-chan est un lycée privé catholique pour jeune fille. C'est une fille dynamique avec du caractère qui adore son établissement pour « demoiselle ». Elle entre dans le club de théâtre parce que ça correspond au style (et visiblement elle aime ça).
Après dix années de séparations, elles ne se reconnaissent pas. Fumi-chan est devenue bien plus grande qu'Ā-chan. Fumi-chan avait d'ailleurs un peu oublié Ā-chan à cause de Chidu-chan. Visiblement, elle n'est pas mécontente de ces retrouvailles qui vont les rapprocher bien plus qu'elle ne le pense (visiblement Ā-chan ne s'intéresse aussi qu'aux filles).

J'ai vu les deux premiers épisodes, le premier se passe autour de la rencontre et la découverte des lycées respectifs. Certains personnages secondaires sont aussi présents, mais mis plus en avant à partir du second épisode. Il y a d'autres coupes yuri.

L'opening 「青い花」 (Aoi Hana) chantée par Kūki Kōdan (空気公団) et l'ending 「センティフォリア」 (Sentiphoria) par Ceui se concentre exclusivement sur le couple de la série. C'est assez simple, léger et assez simple.

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Avec 大正野球娘 (Taishō Yakyū Musume) nous sommes bien loin d'une vraie série sur le sport. Elle se passe en 14 de l'ère Taishō (1925) et fait plus dans l'historique « léger ». Une lycéenne qui cherche à monter un club de baseball juste parce qu'elle n'a pas trop apprécié les propos misogynes d'une de ses connaissances. En fait, ce n'est pas tant le sport qui compte, c'est qu'elle arrive par elles-mêmes jusqu'au bout de leur entreprise.

Au niveau des décors, on se retrouve presque un siècle en arrière. J'ai tout de même l'impression qu'il y a eu quelques efforts pour coller à la réalité de l'époque (je n'en suis pas sûr). Le lycée mélange sailor fuku (yōfuku) et kimono (wafuku). C'est peu après l'ouverture du Japon sur le monde (ère Meiji) et le monde occidental commence à se mélanger aux coutumes du pays. Il y a tout de même quelques trucs qui sont là pour amuser (genre le prof d'anglais). Dans l'ensemble, c'est assez sympa et les personnages ne correspond pas trop à l'image que l'on pourrait se faire de filles qui veulement faire un tel sport. C'est d'ailleurs un point que je trouve intéressant. Celle qui en est à l'origine fait « demoiselle ». Mais je pense que les scénaristes vont bien nous pondre une équipe de choc en fin de série (il faudra sûrement ça pour mettre à mal celui que Kōme a pris au mot).

Kōme veut donc créer un club de baseball sans rien y connaître et sa première approche sera celle d'un club professionnel (bien borin), de quoi faire fuir toutes celles qui hésitées. L'équipe à du mal à se constituer, mais on a tout le monde au bout de deux épisodes : dix membres et un prof d'anglais pour les aider (connaissant un peu le jeu). Le début est très laborieux et on n’a pas l'impression que cela aboutira à quelque chose de concret. Cela reste divertissant, car ce qui compte le plus ce n'est pas le résultat. Il y a tout de même certaines filles qui vont relever le niveau par la suite.

La série est joyeuse et amusante. Akiko qui serait bien d'avis de ne pas suivre Kōme, mais plus les choses avance et plus refuser le club semble impossible. Fait au final, cela fait un peu transposition d'une histoire à l'ère Taishō qui aurait bien pu se passer aujourd'hui, à quelques détails près et bien entendu sur un sujet plus d'actualité.

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プリンセスラバー!(Princess Lover!) est l'histoire classique du harem avec un type banal qui se trouve catapultée dans la haute société. On rajoute à cela qu'il a perdu ses parents avec un soi-disant accident et un très riche grand-père à la tête une énorme société. Bref, ne cherchez pas trop l'originalité dans le scénario... (ni ailleurs ?). Graphiquement, la série me semble plutôt réussie avec des filles assez jolies et une animation plutôt correcte.

L'histoire commence avec Teppei qui discute avec ses parents sur ce qu'il ferait s'ils venaient à disparaitre (pour disparaitre le lendemain). Après un recueil sur le tombeau famille, il voit une fille en carrosse (très habituel vous me direz) en train de se faire poursuivre en voiture par un groupe de malfaitrice (... et c'est quoi comme cheveux pour tenir à probablement 90km/s ou plus ?). Le preux chevalier Teppei enfourche son scooter pour sauver la demoiselle en détresse et manque de se tuer par la même occasion. Il s'avère qu'il s'agit de la princesse Charlotte=Hazellink (シャルロット=ヘイゼルリンク). Après le sauvetage, il se rend auprès de son grand-père accompagné de FUJIKURA Yū (藤倉 優), un maid. Il est présenté à tout le monde lors d'une réception... Un univers de facteries qui devient vite insupportable. Il voit une fille qui fait de l'escrime seule, il se s'échappe pour se rend la voir et celle-ci s'attaque à lui. Il semble de niveau égal. Il apprend juste après qu'il s'agit de sa fiancée Sylvia=Fan Hossen (シルヴィア=ファン・ホッセン).

Pour l'instant dur de se faire une idée. J'avoue que j'ai trouvé le début pas trop mal du tout, le trailer me donnait m'avait fait une impression assez moyenne (presque mauvaise). Je me demande si la suite suivra. Tout ce que j'espère c'est qu'on ne va pas retrouver les mauvaises choses de ce genre de séries : quiproquo permanent sur la position des mains du héros qui tombe malencontreusement toujours là où il ne faut pas. On y a déjà le droit au premier épisode. Au niveau des filles, on a une princesse, une maid, une femme d'épée et ... la dernière à l'air d'être simplement une lycéenne.

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かなめも (Kanamemo) était présentée comme une série humoristique, cependant la série part assez tristement pour l'héroïne. Je pense que la suite devrait nous faire très vite oublier ce passage. Elle se retrouve dans une maison avec quatre filles bien particulières. L'espèce assez kawaii cache : alcool, ecchi, loli et yuri. Il y a quelques mêmes censures. Voilà une série tout ce qu'il y a de plus déjanté, surtout quand on voit que celle qui semble diriger le commerce est en primaire.

Kana n'a plus de parent et vient de perdre à 13 ans sa dernière famille : sa grand-mère. Elle est mise à la porte et tout ce qu'il lui reste lui est mis (elle récupère tout de même ses sous-vêtements dans les meubles). Elle se cherche alors un emploi, mais à son âge, c'est peine perdue.
Pendant ce temps chez un livreur de journaux, Fuhshin Shinbun (風新新聞), on cherche une nouvelle personne (affiche déposée par la petite AMANO Saki (天野 咲紀). Quatre autres filles travaillent ici :
- AZUMA Hinata (東 ひなた) : fille avare qui aime l'argent
- KITAOKA Yume (北岡 ゆめ) : Une fille plutôt calme qui a tout le temps peur qu'on lui pique Yume.
- MINAMI Yūki (南 ゆうき) : Dynamique et candide, cette fille semble bien crédule qui ramène un chat pour nouveau membre .
- NISHITA Haruka (西田 はるか) : une lolicon alcoolique qui espère que le nouveau membre aura entre 7 et 15 ans. Elle adore Saki (on ne se demande même pas pourquoi). C'est aussi la plus âgée.
Kana voit le message : 従業員募集住み込み可 (Recrue personnelle, logement possible). Mais en voyant les folles qui y vivent, elle préfère s'enfuir. Yūki et Yumi qui s'embrasse avant le boulot, Haruka qui tient Saki par la robe (culotte à l'air)... Mais partout, elle cherchera à loger, mais elle est soit refusée, soit ne frappe pas à la bonne porte (un vendeur de spiritueux). C'est par hasard qu'elle se fait renverser par Yūki et se retrouve au Fuhshin Shinbun. C'est la fin qui va la faire rester... et vu la nullité de Yūki, elle passe au fourneau et on ne lui laisse rien. En fait, il n'y a que Yume pour manger ce que fait Yūki. Kana demande si elle peut rester travailler ici. Mais c'est à Dairi (代理) (surnom de Saki) de décider et elle l'accepte. Les filles vont vite se rendre compte qu'elle n'a plus de famille, donc personne à appeler, et qu'elle n'a aucune affaire. On lui donne une chambre et même des affaires (comme un futon). J'ai bien la fête d'arrivée où elle boit du « jus de riz » (ou comme faire avaler du sake à une fillette de 13 ans).
Chose importante que Kana n'a pas demande... Quel genre de travail est-ce ? Elle l'apprendra de Dairi, bien étonnée.

Une série qui commence assez bien. C'est mignon et déjanté. Je m'étendais à voir une série un peu moins osée, mais c'est assez marrant. J'attends la suite avec impatience.

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Un peu d'« art » avec GA 芸術科アートデザインクラス (GA Geijutsu-ka Art Design Class) qui pour une série sur le sujet utilise vraiment celui-ci. Les jeux de mots sont légions, mais aussi les jeux graphiques et d'idée. J'avoue n'avoir pas tout compris des blagues de l'épisode. C'est bien animé, il y a pas mal d'idée très bien exploitée et le thème de l'art est vraiment présent. Voilà qui part bien.

Il n'y a pas de personnages qui soit vraiment mise en avant, il faut dire que va assez vite, il n’a presque aucun moment de répits dans l'épisode. À tour de rôle, on voit les délires ou bêtises de chacune. Il ne semble pas vraiment y avoir d'histoire générale à la série. Le caractère de chaque personne est exploité à fond. Surtout qu'il n'y a aucune fille effacée. L'un des grands thèmes du premier épisode est le « pictogramme ». Mais il y a aussi tout plein d'à-côtés qui comblent largement le reste de l'épisode. On a même le droit à quelques explications diverses... même sûr ce qui n'a rien à voir. Au milieu d'épisode il y a quelques cases de yonkoma manga animés. On a même un peu de sentai dans la seconde partie.

Il y a tellement de choses à dire sur un seul épisode... C'est vraiment très dense et marrant. J'adore le thème, raison de plus qui me fait aimer la série. On voit que la série est tirée d'un yonkoma manga et j'espère que ce rythme sera gardé au fil des épisodes (même si je surchauffe pour suivre :P).

L'idée de l'ending est assez amusante et trop mignonne. Vivement la suite !

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Un regarde vers le ciel pour 宙のまにまに (Sora no Manimani). Une série romantique plutôt agitée qui prend pied dans un club d'astronomie. Le début est plutôt sympa, graphiquement pas trop mal, mais on finit par un peu oublié de détail devant l'agitation. Nous avons un héros traumatisé qui retrouve son amie d'enfance... qui est à l'origine du mal. Il faut dire, elle est un poil hyper-active.

Pour l'instant, le premier épisode se résume quasiment à ce que j'ai mis la dernière fois, mais je vais détailler un peu plus. Koyomi revient dans sa ville d'enfance et espère qu'il ne pas tomber sur Misa, une amie d'enfance qui l'a tellement trainé dans tous les sens qu'elle est restée gravée dans sa mémoire comme un démon tyrannique. Malheuement, quand il entre en première année, elle est là et elle n'a pas beaucoup changé. Il a le malheur de dire son surnom, donc elle reconnait immédiatement même s'il le nie. Pendant deux jours, il va la fuir. Impossible pour elle de réussir à le voir. Puis finalement, elle réussit à l'attraper (placage au sol), mais il ment en lui disant avoir tout oublié jusqu'à qu'il explose pour vomir tout ce qu'il pense sur elle. Ce qu'il ne savait pas c'est qu'elle a toujours espéré le revoir pour se faire pardonner après l'accident, mais elle n'a jamais pu. Après cela, il se retrouve au club d'astronomie, malheureusement il faut un cinquième membre au club qui n'en compte que quatre (avec un malade à cracher du sang). Peu après la rentrée, le club font du recrutement, mais tout est gâché par la pluie. La seitokai est aussi buchōchō du club de littérature (Koyomi aurait surement aimé y entrée) donne l'impression de connaitre Koyomi (de quoi faire un petit triangle ?)

Je m'attendais à quelque chose d'un peu plus calme. Il faut voir comment cela va se passer par la suite. Le ciel étoilé n'est peut-être qu'un prétexte, mais j'espère qu'il ne sera pas oublié durant la série.

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Après un OVA pour faire la transition le mois denier, 狼と香辛料Ⅱ ~Spice and Wolf~ (Ōkami to Kōshinryō II) nous retrouvons Holo et Lawrence sur les routes. Les vidéos de présentation, mais aussi l'opening tant vers un rapprochement entre les deux protagonistes de la série.

Visiblement, on ne reverra pas les personnages secondaires de la première saison. Le début est plutôt poissonneux, avec Amarty, un marchand de poisson (qui semble avoir le coup de foudre pour l'apparence de nonne de Holo) et le village vers lequel le couple se rend voir Mark, un ancien collègue Lawrence tient un commerce. On retrouve aussi le mauvais rêve d'Holo qui était présent dans l'OVA.

Ceux qui n'ont pas aimé la première saison ne vont pas plus aimer celle-ci. Le rythme est le même, la musique est le même et graphiquement c'est la même chose. Pour l'opening 「蜜の 夜明け」 chanté par ARAI Akino (新居 昭乃) est est vraiment une excellente surprise (en même même temps j'adore Akino). L'ending ressemble beaucoup à celui de la première saison, sauf la chanson (qui est en japonais). Voilà un premier épisode qui annonce une très bonne suite.

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Je finis la soirée avec 東京マグニチュード 8.0 (Tōkyō Magnetude 8.0). Une série axée sur le séisme. Scénario catastrophe comme on en a vu cinquante grâce aux (télé-)films américains. J'espère que la série ne va pas suivre un cheminement identique (mais perso, sur ce genre d'histoire, je n'y crois pas trop).

Après l'opening composé de belles illustrations (dessins très détails) nous montrant un Tōkyō ravagé, on peut voir la capitale en détruite en pleine tempête avec une fille qui dit tout détesté. Puis retour en arrière pour suivre le début de vacances d'été de Mirai, une collégienne perdue qui se chercher en pleine crise d'adolescence. Elle passe sont temps sur son keitai ce qui lui vaut un surnom moqueur à ce propos (marrant, ça me rappelle une de mes sœurs). Ces parents sont débordés et ne trouvent plus vraiment le temps de s'occuper d'eux ou même partir en vacances en famille. Elle aimerait qu'on l'ignore un peu moins. De plus, elle n'arrive pas à comprendre son petit frère Yūki qui déborde d'affection pour tout le monde. Comme les parents n'ont pas de vacances, elle est chargée d'emmener son frère à une exposition de robots. Ça la barbe et le fait à contrecœur. Au moment de partir, Yūki a envie d'aller aux toilettes et ils séparent. Un gamin lui tache sa jupe de glace donc elle y va elle aussi. Quand elle revient pour l'attendre, elle déprime tellement qu'elle envoie par mail qu'elle aimerait que ce monde soit détruit. Dans l'instant qui suit, le tremblement de terre commence et Yūki n'est pas avec elle.

Le premier épisode ne dit pas grand-chose, c'est juste une introduction. Cependant, c'est un début assez réussi. Les passages en 3D sont très réussis et je ne doute pas que la suite soit tout aussi réussie. Mais ce que j'attends le plus de voir, c'est le déroulement de l'histoire, car la terre on n'a pas eu le droit à des prémisses, directement un grand séisme qui met tout à feu et à sang.

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2 commentaires déposés

Par Trit', le 12/07/2009 à 15:02:36
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"Le ciel étoilé n'est peut-être qu'un prétexte, mais j'espère qu'il ne sera pas oublié durant la série."

Normalement, ça ne doit pas, surtout si c'est censé être la contribution de l'animation japonaise à l'Année Mondiale de l'Astronomie, 2009 étant aussi le 400e anniversaire de la naissance de Galilée.

Par Zéfling, le 12/07/2009 à 17:42:42
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On verra bien. Un seul épisode ça fait juste pour se faire un avis sur une série .;)

Il faudrait voir ce que donne le manga. Je pense que, si tu dis vrai, ils n'ont pas pris n'importe quelle série pour l'occasion. Même si je ne m'attendais pas trop à ça.

Compared to French grammar, nothing is hard. (Rasmus Lerdorf)

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