Tuesday 9th October 2007
Petit problème lié à plus de travail et cela ne va pas s'arranger. J'en parlerais plus longuement dans le prochaine édito.
Petite soirée toujours en retard avec l'épisode 19 de 電脳コイル ~Coil A Circle of Children~ (Dennō Coil). La distinction entre le monde réel et le monde virtuel commence a s'estomper.
Attention : images en 1920x1080
第
19話 「黒い訪問者」
Kyōko s'en va pour l'autre monde sous les yeux
de Yasako et Fumie. Le corps de la petite est maintenant « no
data ». Fumie pense toujours que ce sont des idioties et
qu'il
faut lui enlever les lunettes. Yasako ne veut pas.
Puis deux autres créatures arrivent vers eux. Les megabī n'a aucun effet sur elle, mais les metatag un peu plus. Les deux fillette sortent de la pièce. Yasako tient sa sœur dans ses bras. Fumie pense sortir, malheureusement le brouillard a envahi toute la maison et se propage lentement. Le danger arrive de partout.
Un peu plus loin elles se protège derrière
un mur de brique qui reste très peu résistant. En se rendant en haut,
un autre illégal se trouve sur leur chemin et touche Yasako. Celle-ci a
des
images qui lui viennent en tête. Densuke pour protéger se maîtresse
saute sur l'ombre numérique et disparait...
Elles se réfugie dans la partie de Megabaa, le Magashiya, qui protéger
par quelques
megatag de
sa conception. Le brouillard ne pénètre pas la zone. Les créatures ont
envahi le reste de la maison et le jardin. Elles sont maintenant
protégées mais prisonnières de ce havre de paix qui ne durera pas
éternellement.
Densuke se réveille et entend une musique
vers laquelle il se rend.
Yasako parle d'un endroit paisible où les dangereux illégaux se
trouvent. Fumie fait comme si tout ceci n'étais pas vraiment réel. Kyōko est seulement
endormie, demain matin elle se lévera. Yasako remarque que sa sœur à de
la fièvre, ce qui devient réellement inquiétant.
Isako cherche la zone d'une maison, mais
ne la trouve pas. Repense à sa
rencontre avec Haraken. Pour elle ne peut pas être une coïncidence.
Fumie appelle Haraken qui ne répond pas (il n'a plus ces lunettes).
Yasako qui essaie d'avoir Megabaa n'a pas plus de résultat. Fumie
propose d'envoyer un mail. Yasako se demande si cela va marcher vu que
le téléphone ne passe pas. Elle pense que où en passant par le serveur
de Magabaa.
Isako cherche la maison Haraken et finit par la trouver. Alors qu'elle
se demande si c'est une bonne idée et est prête à partir, il la voit et
l'appelle.Il lui demande de l'attendre. Ils se rendent ensuite dans le
parc pour parler. Elle lui demande il ne se préoccupe de son corps.
Elle
trouve que c'est sans désir sans intérêt, puis ce n'est qu'un légende
urbaine. Il lui dit resentir que Kanna y est. Isako comprend alors. Il
veut s'y rendre, mais refuse qu'il aille de l'autre côté. Mais
maintenant il ne pourra pas, car Tamako lui a pris ces lunettes. Elle
répond que c'est pas plus mal, il ne pourra plus jouer avec. Elle
l'aurait tué.
Yasako dit qu'après Haraken, maintenant Kyōko, ce n'est donc pas une légende urbaine mais la réalité. Malgré cela, Fumie n'y croit pas. Le donnō ne peut pas leur faire de mal. Le monde de lunette ne peut pas avoir d'incidence sur le monde réel. Pour Kyōko, celle-ci a probablement attrapée un rhume. Elles proposent qu'elles enlèvent leurs lunettes. Yasako pense a faire de supposition sur les illégaux qui effraye Fumie pour qui ce monde n'est qu'une image. Elle veut enlever ces lunettes et en voyant Kyōko elle continue à penser que ce ne sont que des imbécillités.
Yasako l'arrête et
continue sur la légende, si était vrai. Elle lui montre en
suite sa
main qui a touché la créature. Celle-ci n'est plus en phase avec son
corps. Elle lui dit qu'à ce moment elle a ressentie une sensation
détestable, elle a eu peur. C'était un sentiment de tristesse. Elle
parle ensuite du trou noir, où il se trouve certainement. Fumie comment
à croire à l'histoire ces de personnes morts qui vivrait dans l'autre
monde comme Kanna. Yasako lui dit qu'elle peut les enlever si elle
veut, mais elle sentira probablement les illégaux comme elle a
senti.
Kyōko marche dans un couloir et entend les vibrations d'une fête. Elle
s'approche.
Haraken de retour chez lui et se rappelle qu'il a une autre paire, celle de Kanna. Il se connecte sous son identifiant de connexion : HARAKAWA KEN-ICHI. Il reprend du service.
Fumue sont avec des megatag en main trouvés dans les affaires de l'ancienne. Yasako se rappelle que c'était un noir qu'elle avait utiliser sur Haraken. Il n'y en a pas ici. Yasako fait une nouvelle supposition entre les illégaux et Michiko-san. Fumie lui demande d'arrêter (c'est pire qu'une histoire d'horreur pour elle, c'est réel). Elles remarque que les créatures commencent à briser la barrière qui les protèges. Les talismans sautes les un après les autres. Soudain un vieux téléphone noir sonne.
Yasako décroche et demande à qui elle a a
faire : « Hello, Washi
ja yo !
». C'est sa grand mère. Les filles s'étonne que le téléphone marche.
L'ancienne leur dit que c'est un téléphone spécial. Yasako lui parle du
cas de Kyōko. Elle leur parle d'un metatag
noir. Elle demande où elle peut en trouver.
Peu après Fumie accroche d'une ficelle les lunettes de Yasako pour être
sûr qu'elle ne les perde pas dans cette entreprise. Puis elle ce lance.
Fumie s'occupe de Kyōko à la demande de Yasako. Cette dernière avance la peur au ventre. Les talismans se brisent et le brouillard continue sa progression dans la maison. Elle se rend dans une pièce plus loin et trouve plein de metatag mais aucun noir. Un illégal apparaît devant elle et elle jette des talismans sur lui.
Fumie toujours au téléphone avec Megabaa
apprend qu'il ne suffira pas du
metatag
pour faire revenir Kyōko. Le corps Dennō
de la petite
doit être a proximité. Elle demande aussi si le corps de Kyōko
ne deviendrait pas transparent. C'est bien le cas. Le lien se
brisera si le corps Dennō
s'éloigne de plus de 1000 mètres.
En coulant échapper à des créatures, Yasako découvre un passage secret.
Une pièce qu'elle ne connaissait pas, ou plus, bardée de
protections.
Megabaa dit à Fumie qu'il faudrait téléphoner au numéro du corps Dennō de Kyōko. Puis un « bip » se fait attendre. Elle n'a plus assez de crédit (des pièces de 50 ¥) pour continuer a parler. La communication est coupée. C'est donc un vrai téléphone (à l'ancienne). Fumie ne semble pas savoir s'en servie. Soudain un illégal pénètre un des murs à proximité et le brouillard entre maintenant dans leur pièce. Elle prend peur et collé contre une étagère un des masques ce met à bouger. Elle hurle en voyant...
Yasako qui en fait autant. Elle donne quelques megatag à Fumie qui s'en sert pour mettre un mur de fer devant l'ouverture ténébreuse qui s'agrandit. Dans la poignée de talisman, d'un d'eux est noir. C'est là que Fumie apprend ce qu'elle Megaba lui a enseigné.
Kyōko marche seule et se retrouve de l'escalier avec des torii d'un temple. Elle donne l'impression de dormir debout. Elle escalade ce dernier et plus monte plus il y a de lumière. Ce sont les stands d'un matsuri. Elle s'arrête devant l'un d'eux car un homme lui temps une ringo ame. Elle la prend et une voix roque lui dit de la manger. Quand elle est prête à la mordre, la sonnerie de son téléphone retentit.
Elle s'arrête et répond. C'est Yasako qui lui demande si c'est bien elle. Kyōko répond. Sa grand sœur lui dit qu'elle est dans un endroit dangereux. Fumie lui demande où elle se trouve. Elle répond qu'elle ne sait pas, c'est une sorte de matsuri d'après elle. Fumie panique un peu, devant le corps inerte toujours plus transparent de Kyōko et elle entend la voix de celle-ci. Elle continue en disant qu'il y a plein de commerce et de torii. Yasako lui demande quitter ces lieux au plus vite, tout ce qu'elle voit n'est que mensonge.
Les stands disparaissent laissant des ombres noires à leurs places. Kyōko dit qu'un homme lui a donner une sucrerie. Yasako lui dit de la jeter et fuir, vite ! Elle lâche ce qu'elle a en main et regarde ce qu'elle a autour d'elle avec plus d'attention. Les créatures noires sont partout disant « kyoudai » (nous somme frère). Effrayée, elle descend les escaliers à toute vitesse et trébuche en bas (faisant voler plein de metabug). Elle s'est fait un peu mal, mais pas assez pour ne pas continuer sa fuite. Soudain elle entend Densuke et court dans sa direction
Les filles entendent aussi l'aboiement du chien. Yasako lui demande de courir vers la voix de Densuke, puis elles sont coupées. Le brouillard entre dans leur pièce. Kyōko a perdu sa sœur et panique. Dans une sorte de labyrinthe de ruelles, elle est toujours poursuit par les illégaux. Elle est encerclée et hurle « unchi » comme si cela pouvait la sauver. Densuke, familié de ce mot, cours vers elle.
Dans le monde réelle (enfin presque), le
mur commence à céder.
Elle ne peuvent plus rester dans cette pièce et se réfugie
dans la pièce secrète.
Kyōko paniquée est sauvée par Densuke. Il s'attaque à l'un d'eux puis
court se mettre sous la petite pour la porter. C'est sur lui, qu'elle
s'enfuit à tout vitesse.
Les filles sont maintenant dans la dernière pièce protégé. Yasako ne sais pas quoi faire. Soudain, la pièce s'agrandit dans le brouillard et une ruelle apparaît avec de la lumière. C'est une zone ancienne.Yasako resent la présence de Densuke et Kyōko. Elle entend la voix de cette dernière. Yasako semble voir dans les zones anciennes. Elle appelle sa sœur et son chien. Ceux-ci arrive. Densuke s'affale sur le sol juste avant de travers le mur et glisse avec Kyōko dans la pièce. Yasako crie sur Fumie d'utiliser le tag noir.
Elle l'applique sur le corps Dennō de la petite qui comme un kirabug, s'envole vers son corps réel. Malheureusement, les créatures numériques sont jours là et la porte est laissée ouverte. Fumie demande où est la sortie. Il y a une porte qui mène vers le Magashiya. Il va falloir qu'elles se préparent à attaquer.
Finalement
c'est à ce demande si le denno n'est pas aussi réel que le réel. Quoi
qu'il en soit, c'est terrifiant et frustrante de ne pas savoir ce qu'il
se serait passé si elles avaient leur lunette.
On peut aussi se demande si les kirabug ne sont pas des âmes et Isako
ne fait que les capturer pour les contenir en elle. Vu comme cela,
c'est un peu plus gloque.