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L'été est terminé, et j'ai aussi achevé quelques séries dans l'ordre dont je les ai finies :

• 😭 Planetarian ~Chiisana Hoshi no Yume~
• 😎 Re: Zero Kara Hajimeru Isekai Seikatsu
• 😉 Show by Rock!! Short!!
• 😃 NEW GAME!
• 😊 Amaama to Inazuma
• 😏 Fate/kaleid liner Prisma☆Illya 3rei!!
• 😃 Kono Bijutsubu ni wa Mondai ga Aru!
• 😘 Momokuri
• 😃 ReLIFE
• 😊 Amanchu!
• 😙 Love Live! Sunshine!!
• 😏 Tales of Zestiria - The Cross
• 😏 Kuromukuro

Comme toujours, beaucoup de séries abandonnées en cours. Cette année je peine à suivre à cause du boulot...

Dans un monde apocalyptique, il reste encore une petite lueur de bonheur, qui s'avère être un androïde qui fait l'accueil un planétarium abandonné. L'histoire se centre sur cette rencontre entre un homme qui cherche à survivre dans ce monde sans pitié et une créature qui n'a pas conscience que le monde est en proie au chaos. L'androïde a le physique d'une jeune hôtesse d'accueil, toujours courtoise, toujours aimable et souriante, mais il y a toujours quelque chose en elle qui rappelle que ce n'est qu'une machine. Je trouve d'ailleurs ce dernier point particulièrement intéressant et réussi, car on peut se demander si tout ce qu'il reste d'humanité au monde n'est pas une machine et la fin ne fait que renforcer la chose.

Bref, une histoire courte, mais bourrée d'émotion, très bien écrite, même si la fin est plus que prévisible.

Pour moi, la meilleure série de l'année pour le moment (et je ne vois rien qui pourrait me faire changer d'avis avec la saison à venir). L'histoire est très bien écriture avec des rebondissements très souvent difficiles à prévoir. Les boucles temporelles sont très judicieusement utilisées avec des décisions radicalement différentes à chaque cycle, ce qui permet de ne jamais avoir l'impression de redite. Les boucles se forme avec la mort du héros, dont l'esprit est immortel... du moins, une malédiction lui donne la possibilité, mais comme il s'agit d'un maléfice, cela entraine des aspects néfastes (mourir c'est pas cool) qui peut lui compliquer cette quête : sauver une demi-elfe. À chaque cycle on en apprend plus sur ce monde, sur chaque personnage. Il est parfois difficile de savoir de par qui viendra la mort.

Pour ce qui est de la réalisation, c'est loin d'être la plus réussie, mais c'est très vite oublié. Sauf peut-être dans un des arcs où la mise en place est terriblement longue... c'est peut-être le plus gros reproche que je puisse faire.

Une seconde saison n'est pas à prévoir dans l'immédiat, car l'anime à adapté les 9 tomes sorties. La série est toujours en cours, donc il faudra probablement patienter 2 ans.

Autant je trouvais la série originale pas terrible, autant ces courts gags ont le mérite d'être assez drôles. Le seul problème c'est qu'il faut se farcir la première saison pour mieux comprendre chaque délire. Bref, ça me donnerait presque envie de commencer la saison 2 qui arrive sous peu. Pour ce qui est de la série, c'est en grande partie des parodies d'émission d'idol qui ne sont là que pour se montrer...

Finalement, ce n’est pas le monde de jeu à la Shirobako, mais plus de la tranche de vie dans une boîte de jeu vidéo (exclusivement féminine) quelque peu idéalisé. L'aspect du travail autour du jeu vidéo est juste esquissé, jamais aussi détaillé que ce que l'on pourrait l'espérer. D'autres l'ont d'ailleurs fait dans d'autres domaines de façon bien plus poussée.

Bref, c'est de la tranche de vie mignonnette qui ne cherche pas plus loin d'à prendre le milieu professionnel comme zone de jeu. Mine de rien, dans les anime ça reste rare, même si dans cette série on se retrouve avec une adulte aux traits d'une collégienne. Dans l'ensemble, j'ai trouvé la série amusante, surtout car il a quelques gags qui me rappellent ce que je peux parfois vivre au boulot. En tout cas, j'aurais rêvé de travailler dans une telle boîte...

Une série pour donner faim. À chaque épisode, ou presque, un plat est préparé dans un restaurant qui n'en a plus que l'aspect. Ce dernier sera le théâtre, pour un professeur, sa fille et une de ses élèves, du retrouver le goût de bien manger, ensemble. Globalement, la série est intéressante, même si la petite semble parfois un peu trop forcée, le père un peu trop modèle et la lycéenne un peu étrange dans sa façon de raisonner. Mais l'important est que la série a réussi à me donner l'appétit à presque tous les épisodes, avec des scènes de préparation qui donner presque envie de faire la même chose en même temps pour apprécier un le plat ensemble. En tout cas, j'avais l'impression que ces séances ressemblaient presque à de la thérapie de groupe/familiale, c'est peut-être l'idée.

Cette première partie de ce troisième arc m'a semblé moins catastrophique que le précédent. Non pas que l'on retrouve quelque chose comme la première qui, pour l'instant, est la seule qui vaut le coût à mes yeux, mais il a des idées intéressantes voir très bien trouvé. Certains personnages sont tellement caricaturaux que cela faire des êtres mystérieux, dans un monde qui l'est lui aussi en partie. D'ailleurs, le passage avec « madame corps » et la poupée m'a semblé très bien trouvé : l'innocence peut être terrifiante. Cet arc se passe dans un autre monde qui explique un peu plus qui une des héroïnes.

Ce qui en fait une série « sans plus ça » est l'excès de fan service yuri qui n'apporte rien à l'histoire (il y en a tout de même moins), mais aussi certains passages ou personnages qui donne l'impression d'être juste de la réutilisation sans intérêt. Bref, ça manque de consistance et de folie, même s'il y en a plus que dans le second arc.

Note : un film est à prévoir, sans date pour le moment.

Une série qui m'a bien amusé avec une héroïne dans un club d'art bien étrange. L'histoire ce centre principalement autour de son amour pour un des ses camarades de club, un amour à sens unique, car ce dernier est juste un otaku amoureux de filles imaginaires. Bon, elle a aussi un problème avec les pommes, les autres membres du club ont tous un grain : un qui dort tout le temps, une étrangère totalement immature et une prof cruche. Dans l'ensemble les cas m'on fait rire, les scènes sont plutôt facile à suivre avec certaines fantaisies que j'ai beaucoup aimées. En clair, pour moi un bon délire.

Au début, je me demandais un peu où allait cette série, un peu trop kawaii. Principalement centré autour d'une fille tellement amoureuse d'un garçon que ça en devient inquiétant du point de vue de sa meilleure amie qui la modère, mais elle reste tellement mignonne qu'on pourrait lui pardonner tous ces trucs de perverse fétichiste. Oui, elle est sacrément atteinte, et quand elle se lance pour se déclarer (au début de la série), ce dernier est probablement bien loin de savoir qui est cette ainée qui cherche à être parfaite à ses yeux.

Dans l'ensemble, le style faire très kawaii, mais réussie tout de même à faire de gags surprenants, et j'étais à me demander si je faisais bien d'apprécier cette héroïne un peu trop... déviante. Heureusement, on parfois le point de vue de son adorable petit-ami qui ce posent tout de même des questions sur celle avec qui il a accepté de sortir.

Une série bien amusante que j'ai trouvé presque trop courte.

Partie d'une idée intéressante : que ferriez-vous si l'on vous rajeunissait pour recommencer votre vie au lycée ? (Persennelement, le lycée, ça serait non!) C'est ce qui est proposé à un jeune chômeur de 27 ans qui retrouve son aspect de 17, en servant de sujet d'étude (en clair, c'est un cobaye). Il retrouve donc les pupitres du lycée, les cours, mais aussi les problèmes relationnels de cette période. L'intérêt de la série est de faire en sortent qu'on lui donne le minimum de cartes pour cette « ReLIFE », mais aussi qu'ils servent de « médiateur » entre certains élèves. De fait, il n'a pas fini d'avoir des surprises.

Malheureusement, la série donne l'impression de s'achever en plein milieu (il va surement falloir que je voie du côté du manga), car même si certaines choses se dénouent d'autres se mettent en place. En espérant tout de même une suite.

Voilà une série sur la plongé qui en un peu dans le même délire contemplatif qu'ARIA, mais avec moins de fantasie. La magie est là où l'on veut bien la voir. On se trouve à suivre un duo composé qu'une excentrique et qu'une timide qui se complètent admirablement bien.

Pour ce qui est l'ambiance, c'est là-dessus que la série joue pour beaucoup. Mais contrairement à ARIA, je trouve que l'anime rend beaucoup moins honneur au manga. Certaines scènes sont magnifiques, cependant certaines scènes fonctionnent mieux dans le manga, laissant plus de place à l'imagination.

C'est tout de même une série à voir si on aime les séries d'ambiance qui cherche à mettre en évidence la beauté et la magie de petites choses ou instants sans importance. Puis on peut apprendre deux-trois choses sur la plongé en s'amusant.

Bon, autant être franc, ça ressemble beaucoup à la première série... On retrouve en gros la même idée remise en scène avec un nouveau groupe de filles dans un nouveau lycée. C'est la personnalité de chacune qui sera donc au centre de la série, mais la finalité semble la même : monter un groupe d'idol pour devenir célèbre et sauver le lycée.

Quand je dis personnalité, je devrais plutôt dire caricature ou stéréotype, mais gré tout c'est tellement exagéré, voir stupide que je trouvais ça amusant. De plus, la mise en scène et la progression ne sont pas sans intérêt. Je n'irais pas dire que c'est une série à voir.

En tout cas, je constate un truc, j'aime bien les anime d'idol, mais pas les vrais groupes d'idol, musicalement ce n’est pas trop mon délire (je n’en écoute aucun sauf certaines pistes en me fichant de qui est dernier).

Pourquoi mon emoji semble-t-il si peu enthousiaste devant cette série ? Simplement, car la série donne l'impression de s'arrêter au mieux de l'aventure et pour ce genre de série autant dire que s'il n'y a pas de suite, cette première partie deviendrait sans intérêt. Il n'en reste que graphiquement ça reste la série qui m'a mis une claque cette saison avec des paysages avoir impressionnante de beauté et une animation au poil. Certains passages étaient vraiment intenses et très réussis. Les combats sont comme toujours avec ufotable incroyablement bien chorégraphié.

Par contre, il y a des choses qui pèchent. Le rythme de la série est un peu étrange. Parfois, ça donne l'impression de ramer, d'autres, d'aller trop vite. De plus, le passage Berseria m'a donné l'impression de tomber comme un cheveu sur la soupe, même s'il semble se passer dans le même monde.

Bref, en l'état, ça reste juste un magnifique objet promotionnel pour le jeu. Dommage que cela ne soit pas plus, comme c'était le cas avec Tales of the Abyss.

Pour être franc, je ne comptais pas faire la série. En fait, c'est en me plantant de vidéo que j'ai regardé l'épisode 5 en me disant « c'est pas mal, mais ça n'a rien à voir avec le reste. » Quand j'ai compris mon erreur, je me suis lancé. Je n’aime pas les mecha, à quelque exception des séries comme Eureka Seven, Cross Ange ou Rinne no Lagrange, des séries où le mecha n'est pas au centre de l'histoire, mais les personnages et leur histoire. Dans ce genre de série, les robots sont parfois absents pendant plusieurs épisodes de la scène et ils ne sont qu'un véhicule de SF plutôt classieux.

Après avoir confessé que sans ça, je me fais chier devant ce genre de série, Kuromukoro mélange une personne tout droit sortir du Japon médiéval resurgit dans notre futur proche au moment où une attaque extraterrestre arrive. L'héroïne au centre de l'histoire, après un incident va se faire balader dans tous les sens et se trouve sans vraiment l'avoir voulu méler à cette lutte contre l'envahisseur.

Dans l'ensemble, j'ai trouvé la série plutôt intéressante avec quelques idées qui m'ont semblées bien originales. L'ensemble lui ne l'était pas franchement, mais la mise en scène était suffisamment assez bien réalisée pour me faire oublier les quelques défauts et les quelques personnages « osef », voire lourds. La réalisation est aussi ce qui réussit à la série. En même temps, une série originale complètement ratée pour les 15 ans de studio P.A.Works, ça l'aurait foutue mal.

Le seul gros reproche serait peut-être cette fin un peu trop ouverte. Faire une suite ou un film pour vraiment achever l'histoire c'est presque obligatoire.