Sunday 4th October 2015
Qui dit nouvelle saison, dit nouvelles séries, et pour l'instant je ne suis pas particulièrement enchanté par ce que j'ai vu voir. Entre le déjà-vu et le déjà-vu cliché, ça n'est pas très emballant. J'ai testé des trucs que je n'avais pas présentés... Et j'ai bien fait de pas perdre mon temps en cela. Je ne présenterais pas non plus Heavy Object. Je me suis littéralement fait chier pendant tout l'épisode. Pour le reste, voilà mes premières impressions (dans l'ordre de diffusion).
En regardant le premier épisode de ランス・アンド・マスクス (Lance N' Masques) j'avais un peu l'impression de voir Hayate (de Hayate no Gotoko) à cause de sa force physique et du faite de se retrouver à protéger une fille un plus jeune. Sauf qu'ici ce n'est pas vraiment une romance, car l'héroïne est un peu trop jeune pour ça.
On suit Yōtarō, qui type ultra conditionné par son statut de « Knights of the World ». Il ne peut s'empêcher d'aider les demoiselles en détresse, grâce à ses grandes capacités physiques, et leur faire une tirade de chevalier avec un baiser sur la main... ce qui peut le faire passer pour un pervers (la tenu de chevalier n'aidant pas) dans la société d'aujourd'hui. Peu après, il va venir au secours de Makio, une petite fille qui va trouver en lui un héros de livre d'histoires. Mais elle ne sait pas qui est son preux chevalier, qui partira en lui donnant juste sur surnom. Après être sauvé, elle va trouver Yōtarō qui crie famine sans savoir que c'est lui, son héros, et décide à son tour d'aider quelqu'un. Elle l'amène chez elle. C'est une fille de bonne famille qui vit seule avec ses servantes, dont une seule, Yuifa, est présente à plein temps. Yuifa va se méfier de l'individu suspect que la petite ramène chez elle et va mal interpréter toutes les paroles de celle-ci, partant du principe que l'invité est un pervers.
Pendant, Yōtarō est rechercher par Yoriko, Alice et Shirohime (une jument qui parle).
Je ne vous en dis pas plus sur l'histoire du premier épisode, mais suffisant pour voir que ça ressemble à un cocktail proche de Hayate : garçon super fort, une petite fille dans une grande résidence et une soubrette... en fait, il y en a plus et aussi plus de fantaisie dans ce monde (même si Hayate à son tigre banc parlant, là c'est un cheval blanc).
Dans l'ensemble, c'est mignon, mais on ne peut pas dire que ça soit une série exceptionnelle. Ça reste suffisamment sympa et pas léger pour se regarder. D'ailleurs j'aimerais en savoir un peu plus sur le duo Alice-Shirohime et leur rapport avec Yōtarō.
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ハッカドール THE・あにめ～しょん (Hacka Doll The Animetion) est une série courte sur des sortes d'androïdes qui sont envoyés pour aider les gens qui en demandent d'aide. Visiblement, elles fonctionnent par trois (des clones), sauf qu'on suit le groupe des « ratées ». Presque aucune de leurs actions ne furent un succès et l'épisode en question nous montre à quelques points ceux sont des je-m'en-foutistes sans gêne qui ont peu de chance réussir. C'est très con, suffisant pour passer sur un format de 7~8 minutes. Plus long ça sera lourd.
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ノラガミ ARAGOTO (Noragami Aragoto) fait suite à la première saison. Il me semble quasiment indispensable d'avoir de l'avoir vu pour pouvoir comprendre les personnes qui ne jouissent ici d'aucune présentation. D'ailleurs on est rapidement plongé dans les cauchemars de Bishamon, la narcolepsie de Hiyori, les boulots à 5 yens et idiots de Yato, etc. Bref, c'est dans la parfaite continuité de la première partie : animation, ambiance, musique, etc.
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学戦都市アスタリスク -The Asterisk War- (Gakusen Toshi Asterisk) est la première série de la saison à nous sortie le cliché : lycéen nouvel arrivant × princesse tsundere en culotte qui va le défier et se retrouver dans la même classe. Après, j'attends de voir la suite, parce qu'on se retrouve aussi sur une histoire de compétition de combat entre « établissements », et tout un tas de trucs pas franchement original. La réalisation est plutôt bonne et les combats assez sympa.
Ayato arrive sur Asterisk et voit un mouchoir tomber par une fenêtre. Avec son pouvoir, il saute jusqu'à la fenêtre qui se trouve être celle de Julis-Alexia, en train de se rhabiller. Celle-ci le remercie pour le mouchoir, mais ne lui pardonne pas le reste. Elle va le défier face à un groupe d'élèves qui connaissent le niveau de la « princesse ». Le combat s'engage. Étrangement pour elle, Ayato est vraiment très doué, et ne pleine pas trop à éviter ses attaques. Il va même jusqu'à la sauver d'une attaque externe alors qu'elle l'attaque et tomber sur elle dans une position peu enviable. Leur affrontement est stoppé par l'arrivée de la seitokaichō, Claudia, qui va prendre Ayato en main. Dans son bureau, elle lui présente le système et se demande s’il ne vient pas pour retrouver sa sœur aînée disparue cinq ans plus tôt qui fréquenter le même établissement. Claudia semble en savoir beaucoup sur Ayato et semble bizarrement très proche de lui. De son côté, Julis-Alexia, qui est sur les « premières pages » de son école (soit dans les 12 premières) n'a pas une super bonne réputation et se bat souvent en duel.
Bref, un début plus intéressant par son univers et ses combats que ses personnages ultra-clichés, mais j'attends d'en voir plus, car c'est tout de même assez sympa à suivre.
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Zéro originalité rond 2, avec 落第騎士の
On suit Ikki, qui après un entrainement matinal retourne dans sa chambre et se retrouve face à Stella, en train de se changer. Lui, pour dire lui rendre l'appareil, fait de même et se déshabille... ce qui rend la scène absurde, mais n'en change pas la finalité.
Ils se retrouvent ensemble devant la directrice qui semble un peu s'amuser du couple en donnant les informations au compte-goutte. Stella est clémente, elle lui demande juste de se faire harakiri, ce qu'il trouve un peu exagéré. Après que l'incendie soit passé, elle leur apprend qu'ils seront camarade de chambrée (la raison est totalement stupide, basée sur le nom). Comme Stella n'accepte pas cette situation, elle accepte avec des conditions impossibles à tenir et cela se finir en duel. Le gage sera d'en faire son esclave. Elle pense que c'est gagné d'avance, car lui est de rang F (le pire qui soit) et elle A. Elle n'a jamais perdu un combat et ce qu'elle pensait couru d'avance ne va pas passer comme prévu. Malheureusement, elle apprend que le système de notation a ses failles. Ce qui va l'aider à relative, mais comme elle a perdu, logiquement elle devrait être son esclave. Que va-t-il choisir ?
J'ai bien l'impression que la série va une peu partir dans le service. Même si on n'a pas de vêtements qui se déchirent en combat, Stella passe quand même pour une belle perverse à la fin de l'épisode et il y a de quoi se poser des questions.
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La série que j'attendais !! Le début de うたわれるもの 偽りの仮面 (Utawarerumono Itsuwari no Kamen) ne me déçoit pas. On retrouve tout de même le même schéma avec un homme amnésique qui rejoint un monde étrange. Le début est plutôt sympathique, autant au niveau des décors que de l'animation. J'ai l'impression qu'ils sont bien amusés avec l'héroïne, elle a un sacré caractère. L'ambiance particulière de la série, qui semble reprise de l'ancien Japon rural, est toujours aussi appréciable. Je n'aurais peut-être qu'un reproche, les monstres ne semblent pas super bien coller au reste. Un peu trop jeux vidéo, explicables par le fait que cette série est un cross-média avec le jeu vidéo.
L'histoire commence avec un homme qui se réveille dans une pièce sombre qui semble être dans le futur. Il en sort et se trouve au milieu de nulle part dans les montagnes enneigées affublé un habit d'hôpital (autant dire que c'est léger) quand il sort de son état de trans. Il est attaqué par un monstre géant, puis sauvé par un autre qui bouffe le premier. Celui-ci, une sorte de smile, un tatari, va essayer de communiquer avec lui.
Soudain, il est sauvé de cette créature par une jeune fille, Kuon. Elle se présente à lui, mais lui ne sait rien de lui, amnésique. Elle va donc l'occuper de lui, l'habiller et trainer le frêle homme dans son voyage jusqu'à son village. Il va aussi découvrir que Kuon n'est pas comme lui, car elle a queue et oreilles d'animal. Mais dans ce monde, l'anomalie c'est lui. Il va quelque peu fasciner la jeune itinérante qui le trouve bizarre.
Une fois au village, elle le nomme (Haku), le nourri, le soigné et il va se lavé. La curiosité va pousser Kuon à aller se rincer l'œil pour en savoir plus sur lui, et elle va en voir des choses. Le jour suivant : elle lui dit que s'il veut manger, il va devoir travail. Kuon va donc passer sa journée à essayer de lui trouver du travail dans ses compétences et ce n'est pas facile, car : il n'est pas adroit, pas fort, pas endurant... Bref, elle le met au moulin, qui ne marche plus et qui doit être activé à la main. Haku reste quand même un gros fainéant et plus tôt qu'essayer de moudre le grain à la main, il va essayer de réparer le moulin. Kuon revient et remarque surtout qu'il n'y a rien foutu. Bref, Kuon se demande si Haku n'est pas plus un intellectuel.
Je veux la suite ! Je veux savoir ce que va devenir notre héros ! Je veux savoir ce qu'a vu Kuon dans la salle de bain ! (J'ai l'impression d'être aussi idiot que les héroïnes de Te-kyu).
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Avec 温泉幼精ハコネちゃん (Onsen Yōsei Hakone-chan) je m'attendais à plus amusant. En fait, le format est trop court (3 minutes) pour ce genre de l'histoire, puis les gags ne sont pas franchement drôles. L'histoire de la fée de la source chaude, qui est une « belle fée » transformée en gamin insupportable, j'ai vu mieux.
Note : la série se passe à Hakone, une région touristique du Japon que j'ai visité sous la pluie, mais je reconnais quelques lieux. Amusant. L'onsen manjū, je n'ai pas trouvé cela délicieux, j'ai préféré les œufs noirs.
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小森さんは断れない! (Komori-san wa Kotowarenai!) est comme Hakone-chan un format de 3 minutes, qui se montre assez original. On suit Komori-san, une fille qui ne refuse rien, à qui tout le monde demande spontanément quelque chose (même les profs), ce qui fait qu'elle n'a jamais un moment à elle. Pire, elle se met même dans des situations lamentables à cause de cela (épisode de toilettes). Bref, c'est de la série légère pas indispensable. En plus, on ne peut pas dire que l'animation soit au top.
