Saturday 5th April 2014
Bon, pour être franc, il y a trop de séries, du coup je vais uniquement parler de ce qui m'a à peu près marqué. Du coup dans les nouvelles sorties, j'ai vu, mais je zappe :
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Blade & Soul (ブレイドアンドソウル) : visuellement correcte, mais d'une originalité au niveau du scénario et les personnages principaux sont plats. Pour une série d'actions, je me suis limite fait chier...
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Bokura wa Minna Kawaisō (僕らはみんな河合荘) : comédie romantique pas drôle avec un héros qui m'énervait au bout de cinq minutes, son voisin de chambré encore plus. L'héroïne, tout comme l'ensemble des pensionnaires m'ont laissé de marbre.
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Mushishi Shokushō (蟲師 続章) : non pas que je n'aime pas la série, je suis un fan du manga... mais je ne sais pas pourquoi, en anime je n'y arrive vraiment pas.
J'y reviendrai peut-être si je les continue (ce qui n'est pas gagné).
La seconde saison de ぷちます！！プチプチ・アイドルマスター (Puchimas!! Petit Petit Idolm@ster) reprend avec un épisode de 2 à 3 minutes par jours (4 par semaine ?) avec une première le premier avis pour faire un poisson d'avril qui tombe à l'eau. Ça reste dans l'esprit absurde de la première saison, mais je trouve que visuellement c'est un cran au-dessus.
On retrouve notre « P » (Pi-san ou Producer-san) et enfin quelqu'un s'étonne qu'il soit une tête aussi bizarre... Enfin, ça reste moins bizarre que les Puchimas qui ressemblent à des gremlins kawaii à l'image de la version normale qu'elle représente en bébé. Bref, à leur capacité spéciale et les Idom@sters pour les encadrer, on arrive facilement à du grand n'importe.
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Comme prévu, 悪魔のリドル ~Riddle Story of Devil~ (Akuma no Riddle) est bien un yuri d'action. Qui démarre assez bizarrement dans une classe de tueur avec une ambiance qui va avec. Le début est plutôt sympa, avec le constat énorme entre les deux univers des héroïnes.
Tokaku, l'héroïne, est une fille formée à tuer telle une machine, normalement insensible. Elle est placée dans une classe où il n'y a que des tueuses excepté une fille : Haru, la cible. Cette dernière a l'air d'être la brebis placée au milieu d'un ordre de louves pour voir ce que ça donne. Aucune des tueuses ne sait pourquoi elles doivent la tuer et ce n'est pas leur problème. Il semblerait que le prof ne soit pas de mèche. Ce qui met le grain de sel et le côté yuri, c'est que Tokaku, placée dans la même chambre que Haru, va doucement en tomber amoureuse et, forcement, passer en position de la protéger des autres tueuses. De son côté, Haru qui ne voit rien de ce qui se passe autour d'elle, cherchent juste à se faire des amies, car visiblement elle n'en a pas.
Ce qui me plaît, c'est que ça ressemble au chevalier-princesse de Lost Paradise, avec une ambiance bien pourrie, mais en remplaçant le côté “école misogyne” par une “classe de tueuses”. Bon, personnellement j'aime bien les histoires yuri, mais je peux concevoir que ça peut déranger.
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Avec selector infected WIXOSS, j'ai bien cru tomber sur une énième histoire de jeu de cartes sans intérêt. Pour le côté jeu de cartes, ça ressemble bien, par contre l'ambiance donne pour l'impression de chercher quelque chose de très sombre, avec un character design plutôt gentillet. Le début est assez banal, jusqu'au premier combat et surtout, l’énoncé des règles du jeu où une défaite n'est pas sans importance.
On suit l'histoire de Rūko qui vit chez sa grand-mère avec son grand frère. Cette parente aime les jeux et transmet cette passion du jeu à ces petits enfants. Son frère lui donne un jeu de carte Wixoss, populaire chez les filles, pour qu'elle se fasse des amies. Elle se rend compte que l'une des cartes s'anime : une fille bizarre qui parle très mal comme un chat. Elle est la seule à l'entendre. Elle préfère refermer le jeu. Cette nuit là elle fait un cauchemar épouvantable.
Le jour suivant, la carte lui réclame des combats. Rūko n'a pas d'amie, pas facile d'approcher les autres filles. Mais une fille qui entend aussi les cartes s’approche d'elle pour lui dire que c'est une « Selector ». Yuduki lui montre sa carte, et va la traîner, avec son frère jumeau (qui n'est pas un Selector), pour l'affronter, sauf trop lui expliquer les règles en lui-même, mais plus ce qu'il implique. De « la fille éternelle » (無限少女), de vœux en cas de victoire totale, et la disparition du pouvoir en cas de trois défaites. C'est plus le frère qui va le faire pendant que leur esprit est plongé dans le jeu. Le match ne pourra pas aller jusqu'à son terme, à cause de la reprise de cours. Tama, la carte de Rūko semble stupide, mais quand il s'agit de combat devient une tout autre, avec une force surprenante que Yuduki n'attendait pas.
Après les cours, pour en savoir plus, Rūko invite Yuduki chez elle en tant qu'amie.
Je ne sais pas trop ce que va donner la face sombre de cette série. Tama donne l'impression de chercher le combat à tout prix, et peut-être devenir incontrôlable pour Rūko. Ça serait amusant que cela arrive. À voir si la série va tourner à la Higurashi, mais je pense qu'il y a peu de chance.
