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Bilan : Inari, Konkon, Koi Iroha. & Maken-ki! Two

Friday 21th March 2014

Image :  Inari, Konkon, Koi Iroha.En milieu de semaine いなり、こんこん、恋いろは。 (Inari, Konkon, Koi Iroha.) s'est achevé en seulement 10 épisodes. J'aurais un peu le même reproche à faire qu'à Gingitsune : l'anime donne l'impression d'effleurer son univers, mais la grosse différence c'est qu'il y a une sorte de vraie fin pas super inspirée.

Dans cette histoire, on suit les péripéties d'une kami, Uka-sama, qui cherche à venir en aide à l'héroïne, Inari, qu'elle regarde grandir depuis son monde. Inari a le même nom que le sanctuaire près ce chez elle, ce qui les lie d'une certaine façon. Seul problème est qu'Inari la dojikko de base, et le vœu que va lui accorder le kami, va être en soit une énorme erreur, qui pour être réparé va obliger celle qui lui est venue en aider à lui donner une part d'elle-même et ainsi des pouvoirs divins (celui de ce transformer). Bref, ses pouvoirs en elle Inari ne fera jamais vraiment bon usage, et même quand elle pense le faire, elle ne pense rarement aux conséquences. C'est le côté à la fois drôle et risible du personnage. Il y a un côté assez mignon à l'histoire, même si je trouve qu'Inari n'est pas vraiment le personnage intéressant de l'histoire, contrairement à tous ceux qui l'entourent. Et c'est là le point un peu frustrant de l'anime, c'est que les histoires des autres, on n'en sait presque rien. J'espère que le manga sera plus bavard à ce sujet là (j'ai commencé à le lire, c'est assez simple à comprendre, malgré les régionalismes).

Côté animation et style. La série est très générique, même si parfois ça aurait pu être mieux, notamment tout ce qui est scène en image de synthèse qui rendent assez mal (surtout les scènes pour ce qui concerne Fushimi Inari Jinja). Dans l'ensemble c'est tout de même assez réussi et les décors sont assez bien réussis (et assez fidèle à la réalité des lieux pour ce que je connais). C'est les scènes avec de l'« action » sur la fin qui m'ont semblé être d'une réalisation moyenne, ce qui est un peu dommage.

Pour conclure, une ambiance sympa, surtout si on aime les histoires de kami, mais dont le scénario ne vole pas bien haut. Je suis me suis plus attaché au cadre et au personnage secondaires qu'à l'héroïne trop typée. J'aurais aimé en savoir plus sur Sumizome et sa romance un peu décalée par rapport au reste, les relations du grand frère d'Inari avec Uka-sama, une déesse que je trouve adorable (avec sa passion honteuse pour les otome-game et les jeux vidéo en générale).

いなり、こんこん、恋いろは。 いなり、こんこん、恋いろは。 いなり、こんこん、恋いろは。 いなり、こんこん、恋いろは。 いなり、こんこん、恋いろは。 いなり、こんこん、恋いろは。

Juste parce que je suis allé jusqu'au bout, mais je pense que la seconde saison de マケン姫っ!通 (Maken-ki! Two) est ce qui a de pire cette saison. La première saison était bien gratiné en scène de services, là on descend au degré zéro en tout point : pas un seul épisode avec un scénario qui ne soit pas un clicher lamentable pour foutre des scènes speudo érotiques... Je crois ne pas vraiment avoir vu un seul épisode sans faire autre chose tellement c'est prévisible et parce que visuellement c'est sans intérêt sauf si on peut voir des pervers et des paires de seins qui parlent (franchement ce n’est pas loin). Le logo de la série annoncé la couleur... Les seuls points positif, seulement 10 épisodes (sans l'OVA) et en « radio drama » ça se suit assez bien. Voilà une série nominée dans la catégorie pire série de l'année (et elle ne fait que commencer).

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