Wednesday 15th January 2014
Les deux dernières séries de la saison que je présente. Pour les autres, je n’ai pas envie, je n’ai pas réussi à finir les épisodes pour ceux que j'ai testés.
Un brin de kansai avec いなり、こんこん、恋いろは。 (Inari, Konkon, Koi Iroha.). La série se passe près et dans Fushimi-inari (伏見稲荷), un lieu qui parlera certainement à ceux qui s'y sont rendus, à Kyōtō, et qui on eu l'envie de se balancer au milieu des milliers de torii. Il va de soi qu'on n’utilise pas un tel décor sans toute la magique qui va autour, ce qui nous entraîne vers une comédie romantique, avec une touche de fantaisie avec la présence d'un kami, un peu particulier...
Bref, passé le décor et l'accent (pas trop prononcé), l'histoire démarre autour d'une lycéenne au prénom bizarre, Inari. (Des parents fans du lieu et qui y habitent à deux pas ?) Une fille maladroite, un peu timide et amoureuse, qui a des vues sur un garçon, Kōji. Elle se retrouve avec lui et fait une bourde montreuse. De quoi détruire quasiment toutes ses chances déjà bien faibles, pour ensuite se découvrir qu'il en aime une autre. Une journée pourrie qui avait commencé assez par un retard à l'école, elle était tombée dans un cours d'eau pour venir en aide à un animal. Cette journée lamentable l'a mis en colère, et en appel aux dieux. Soudain, deux messages (des renards) se montrent et l'invitent à les suivre jusqu'à un temple où l'attend Ukanomitama no Kami, une kami qui la connaît déjà en partie dû à son nom. Elle va accepter l'un de ses souhaits : devenir celle qu'aime Kōji... Souhait exaucé. Il ne va pas lui falloir bien longtemps pour se rendre compte que c'était une belle idiotie : changer son corps ne fait pas tout. Obliger de retourner auprès de Ukanomitama, celle-ci, prise au dépourvu (elle joue à des otome game, la honte), lui apprend qu'un seul vœu est possible par personne... Elle ne peut pas retrouver son ancien corps, sauf si elle lui donne une partie de ses pouvoirs. Inari accepte le cadeau sans vraiment connaître les implications qui en découlent. Ukanomitama semble vouloir tout faire pour son bonheur, mais ne lui dit visiblement pas ce qui pourrait fâcher.
Le début est sympa, ça ressemble au début un peu à shōjo ultra classique, puis l'arriver d'un kami donne un peu fantaisie à l'histoire. Puis je ne sais pas pourquoi, Ukanomitama no Kami me fait un peu penser à Nagi en un peu plus mature.
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Bon...