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Avis sur les séries : Onī-chan dakedo Ai sae Areba Kankeinai yo ne! ; Hidamari Sketch×Honeycomb ; Busō Shinki ; Sword Art Online

Sunday 23th December 2012

Ha, la bonne série pourrie de la saison où j'avais envie de voir jusqu'où ça pouvait aller. D'ailleurs, j'ai regardé quelques épisodes en les comprenant à moitié (en somnolant), mais de toute façon pour le peu qu'il y a à comprendre. Bref, le scénario est affligeant avec une héroïne qui fait un bracon qu'elle ne cache même pas, des collaboratrices toutes aussi bizarres les unes que les autres et une gérante qui ne semble pas avoir l'âge légal pour travailler.

J'avoue que je ne sais pas trop quoi dire en bien de la série si ce n'est que ça se regarde. Les personnages sont caricaturaux, mais pas drôles, les scènes frisent le pathétique et le héros est totalement inintéressant... En clair, à éviter.

51
Onī-chan dakedo Ai sae Areba Kankeinai yo ne! 12 épisodes vus – Terminée
Genres : fan service, harem
Les plus
+
  • Réalisation correcte
  • La moitié du premier épisode
Les moins
-
  • Trop de scènes déjà vues
  • L'héroïne est lourde
  • La fin est au niveau du reste de la série...
Élements
Ecchi Romantique Action/Combat
Mystère Humour/Délire Ambiance
Technologie Réflexion Magie/pouvoirs
Qualité
Dessin/Animation OP/ED Musique
Histoire Fin Seiyū

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Voilà une quatrième saison pour les locatrices de la résidence Hidamari qui ressemble beaucoup aux séries précédentes tout en essayant d'apporter plus de personnages que vu précédemment. Ça décloisonne un tout petit peu le cocon tout en gardant l'esprit. Un autre changement se situe au niveau des périodes, qui s'étalent parfois sur plusieurs jours alors qu'au début c'était presque toujours une seule journée qui semblait un peu prise au hasard. Mis à part cela, je note que l'ending est pas mal du tout avec les héroïnes dans de superbes kimono de princesses.

Pour ceux qui ont aimé les saisons précédentes, ce n'est qu'une saison pour prolonger le plaisir qui ne fera très certainement pas revenir ceux qui n'ont pas aimé. Il en reste que pour moi, c'est toujours un plaisir de regarder cette série qui ne raconte qu'une vie assez banale pleine de bonne humeur dans une petite résidence où toutes les localisatrices sont les meilleures amies du monde.

88
Hidamari Sketch×Honeycomb – 12 épisodes vus – Terminée
Genres : Tranche de vie, beaux-arts, gag manga.
Les plus
+
  • Le style graphique
  • La joie et la bonne humeur
  • L'opening et l'ending
Les moins
-
  • Pas de vraie nouveauté
  • Une animation un peu faiblarde
Élements
Ecchi Romantique Action/Combat
Mystère Humour/Délire Ambiance
Technologie Réflexion Magie/pouvoirs
Qualité
Dessin/Animation OP/ED Musique
Histoire Fin Seiyū

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Aussi surprenant que cela puisse paraître, cette série est avant tout de la tranche de vie et se centrant sur un groupe de 4 figurines, de petites Shinki qui n'ont d'yeux que pour leur maître. Cependant, quand celui-ci n'est pas là, il faut bien s'occuper. En résumé, presque toute cette passe pendant ce moment où le maître n'est pas : leurs divertissements, leurs occupations, leurs idées, leurs aventures, leurs combats, etc. Un vrai monde de lilliputienne où les petites machines s'inventent des histoires comme des enfants. Pour tout ce qui est bastons, c'est finalement du détail qui agrémente un peu l'histoire et est relégué au second plan.

Niveau réalisation, il n'a pas grand-chose à dire. De nombreuses actions présentent une intégration 3D presque imperceptible... d'ailleurs parfois je ne saurais dire si c'est de l'animation classique ou des CG. Les histoires sont plutôt mignonnes sans casser trois pattes à un canard. Certaines sont tout de même un peu ridicules, car ce culte du « maître » semble parfois leur faire faire n'importe quoi, voir des choses qui me semblent irréalistes pour leur taille. Si l'on ne prête pas trop d'attention à ce genre de détails, ça reste une assez bonne série qui joue avec plein de code que l'on retrouve dans pas mal d'anime (normalement le service) qui rendent un peu bizarres appliqués à des sortes de poupée qui sont de toute façon nue (leur tenue c'est leur peinture qui est aussi leur corps).

Des histoires futiles pas trop mal mises en scène. Malgré tout, on ressent assez vite la limite du concept où les figurines sont toujours plus humanisées pour pouvoir leur faire faire toujours plus de choses. Je repense notamment à l'épisode sur les fantômes. Une série intéressante, mais loin d'être incontournable. À essayer...

86
Busō Shinki – 12 épisodes vus – Terminée
Genres : S-F, combat de poupées, tranche de vie.
Les plus
+
  • Une bonne réaliste
  • Les espaces virtuels
  • Les shinki sont très attachantes
  • J'adore l'ending qui me fait penser à mes vieux jeux de plates-formes.
Les moins
-
  • Certains épisodes sont un peu trop absurdes
  • À vouloir trop humaniser les figurines, ça crée des effets contre-productifs
  • Trop de « master ».
Élements
Ecchi Romantique Action/Combat
Mystère Humour/Délire Ambiance
Technologie Réflexion Magie/pouvoirs
Qualité
Dessin/Animation OP/ED Musique
Histoire Fin Seiyū

武装神姫 - image 1 - 武装神姫 - image 2 - 武装神姫 - image 3 - 武装神姫 - image 4 - 武装神姫 - image 5 - 武装神姫 - image 6 - 武装神姫 - image 7 - 武装神姫 - image 8 - 武装神姫 - image 9 - 武装神姫 - image 10 - 武装神姫 - image 11 - 武装神姫 - image 12 - 武装神姫 - image 13 - 武装神姫 - image 14 - 武装神姫 - image 15 -
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Après une première partie excellente, la série aurait dû s'en arrêter là : limite nous laisse dans le flou et éviter cette seconde partie qui casse en grande partie tout ce qui rendait le concept intéressant. La série commence comme de la survie où des joueurs sont prisonnier d'un jeu vidéo de type MMORPG héroïque fantaisie, le seul moyen de s'en échapper est de le terminer. Toute mort dans le jeu signifie une mort réelle, donc pas de seconde chance, pas de débranchement possible. On suit un garçon devenu aventurier solitaire qui a participé à la bêta et donc connaît déjà les premiers rouages du jeu, ce qui va l'aider à comprendre certaines choses avant tout le monde. Des avantages utiles au démarrage, mais pas forcément bien vus.

La série joue d'une réalisation vraiment superbe au niveau des décors et du style de jeu qui fait vraiment très crédible : inventaire, barre de vie, interface, etc. Le jeu ressemble à une réalité alternative augmentée avec des règles propres. Si ce point la série est limite irréprochable, elle l'est moins sur certains points scénaristiques. En clair, si le scénario n'avait pas quelques bizarreries malvenues difficiles à expliquer sans spoiler à mort la fin de la première partie et le début de la seconde, je pense que ça aurait été ma série de l'année.

L'histoire se passe sur plusieurs années, car le jeu ne se finit pas facilement, beaucoup ne meurt pas seulement à cause du jeu. Dans la première partie, le monde extérieur est un grand flou que l'on ne peut qu'imaginer au même titre que les prisonniers, et j'ai bien aimé cette approche même si assez rarement évoquée. La seconde partie part plus sur un truc chevalier-princesse, où le monde extérieur vient ajouter son lot de difficultés, ce qui est finalement moins original pour moi. Surtout que la petite sœur joue un rôle qui gâche vraiment l'ensemble.

Malgré tout le défaut que je trouve à la série, l'ambiance des mondes virtuelle est ultra plaisant, qui donne presque envie de vivre une expérience de jeu similaire. Je pense que sans cela, la série n'aurait jamais été aussi prenante. En clair, c'est une série à essayer absolument au moins pour la première moitié.

89
Sword Art Online – 25 épisodes vus – Terminée
Genres : S-F, héroïque fantaisie, survie, aventure, jeu vidéo, romance.
Les plus
+
  • Des décors magnifiques
  • Les codes des RPG plutôt bien retranscrits
  • Des personnages
  • Une idée de scénario intéressante et bien mise en forme
Les moins
-
  • Une seconde partie moins intéressante pour plusieurs raisons
  • Assez inégale dans sa mise en forme
  • Le brocon
Élements
Ecchi Romantique Action/Combat
Mystère Humour/Délire Ambiance
Technologie Réflexion Magie/pouvoirs
Qualité
Dessin/Animation OP/ED Musique
Histoire Fin Seiyū

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