Monday 23th April 2012
Il n'y a pas dire, KyoAni en terme de qualité d'animation c'est toujours ce qui ce faire de mieux et avec leur dernière série, je ne peux que le constater une nouvelle fois. C'est bien plus « vivant » et plus proche des films d’animation de qualité. Avec 氷菓 (Hyōka) , on retrouve un style plus proche de Suzumiya Haruhi au niveau du style des personnages, bien plus classique et détaillé ce qui hausse la difficulté pour tenir un tel niveau d'animation. Bref, c'est du KyoAni et ça se voit au premier coup d'œil.
Cette nouvelle série reprend une ambiance bien plus posée, où cela discute beaucoup. J'avoue que j'ai fini par avoir du mal à suivre tellement cela blablate. Trois personnages qui vont discuter autour de fait énigmatiquement pour trouver la raison logique qui a produit ce qui ressemble à une incohérence. C'est pas mal amené avec une héroïne quelque peu bizarre yeux du héros. Un côté féerique. D'ailleurs, ces deux scènes fleuries sont magnifiques.
La série a pour thème les énigmes et revoir certains passages permet de mieux cerner ce qu'il s'est passé. J'espère que toute la série est bâtie de cette façon, car cela risque d'être intéressant à suivre. Il a autre chose qui me plaît bien et qui ressemble à Suzumiya Haruhi, l'histoire se passe à la première personne, nous n'avons donc que les pensées du personnage principal. Ce qui permet de garder une forme de mystère vis-à-vis des autres personnages principaux.
C'est le printemps, et le début de l'année scolaire. OREKI Hōtarō (折木 奉太郎) arrive dans son niveau lycée. Il ne va rejoindre aucun des grands clubs. Il parle avec son ami du collège FUKUBE Satoshi (福部 里志) qui le connaît, mais s’étonne de le voir rejoindre le « club des livres anciens » (古典部). C'est à la demande de sa sœur aînée OREKI Tomoe (折木 供恵), un courrier envoyé d'Inde qui lui demande de rejoindre un club sans personne, ce qui ne l’enchante guère, mais cela correspond à personnalité.
Il se rend dans sa salle, fermée à clef, où il rencontre bizarrement une fille. Il s'agit de CHITANDA Eru (千反田 える), elle le connaît, mais pas lui. En fait, ils ne sont pas dans la même classe sauf en musique. Il se rend compte qu'elle a rejoint le club, ce qui ruine ce qu'il avait prévu donc s'en va. Elle va le retenir et la question va se poser autour du fait qu'elle n'ait pas de clef et qu'il ait dû entrer en l'ouvrant avec une clef. Satoshi va s'incruster dans leur conversation avec une plaisanterie gênante. Tomoe va forcer à rester tellement une sorcière à la magie de persuasion impressionnante. Le trio va donc lancer dans la résolution de l’énigme de la porte fermée. Elle est arrivée trois minutes, mais a entendu de bruits de pas. Assez d’éléments pour Hōtarō pour trouver une réponse : le technicien qui s'occupe des néons qui à un passe-partout. Ils auraient donc fermé la porte sans voir qu'il y avait quelqu'un.
En partant, Eru invite les deux garçons à intégrer le club. Satoshi est partant et Eru aura raison des doutes de Hōtarō grâce à sa magie à laquelle il ne comprend rien.
Un autre soir, Satoshi conte une histoire horrifique à Hōtarō qui fait sa rédaction. En fait, l'histoire dont Satoshi parle est le deuxième mystère des sept du lycée. Un peu après, Eru les rejoint et Hōtarō lance le sujet du « club secret ». Satoshi est chargé de tout lui expliquer et Eru va l'écouter attentivement. Ils vont se lancer à la recherche du mémo de ce club en se rendant sur le tableau des affiches clubs. Hōtarō trouve le message, caché sous une autre affiche. Il le prend et se quitte. Sur le chemin, Hōtarō et Satoshi parlent de leur petite histoire qui est totalement fictive, car c'est ce premier qui s'est chargé de la mettre en place. En même temps, il trouve une réponse possible à l'un des sept mystères.
