Tuesday 17th April 2012
わすれなぐも
Première chose, cet OVA est à déconseiller aux arachnophobes, car cela risque de les rendre un peu mal rien à cause de la minuscule fillette de l'histoire qui est une yōkai mi-araignée. Je suis passé à côté de cet épisode, mais il serait dommage de ne pas présenter cette courte histoire qui m'a vraiment laissé perplexe quant à sa chute totalement immorale. Franchement, elle m'a laissé un froid dans le dos. Il faut dire que les personnages centraux jouent avec le feu dès le début
La série est plutôt bien réalisée, pour une petite équipe. On retrouve des personnages classiques, mais avec un character design pas trop mal. Pour une histoire ce type ça reste de même joli, surtout dans les paysages du village à l'abandon qui donne une ambiance bien noire à cet épisode.
Tout commence dans un passé de yōkai et qui se poursuit aujourd'hui. Autrefois, un onmyōji avait combattu une grande araignée (大蜘蛛) yōkai. Nous voilà maintenant aujourd'hui chez un antiquaire, SUZURI-san (硯 周), quand ENMI Mizuki (辺見 瑞紀), Une lycéenne là pour faire l'aider pour le ménage en baito, en ouvrant un ouvrage ancien, enlève un talisman et elle laisse s'échapper une araignée. Il s'agit en fait d'une fillette-araignée (娘蜘蛛), fille du grand yōkai terrassé par l'onmyōji qui n'a pu se résoudre à supprimer la si mignonne enfant. Il s'était enfui avec elle et s'en était occupé d'elle jusqu'à ce que l’inévitable arrive et se décida à la sceller. Celle-ci réapparaît chez eux et comme autrefois, ils ne peuvent se résoudre à s'en débarrasser se doutant qu'aussi mignonne soit-elle, c'est jouer avec le feu de la garder. Ils cherchent malgré tout à retrouver son histoire et se rendent dans le village abandonné où se trouve sa mère... Mizuki qui l'a suivi pour le sauver n'a pas pensé un instant à qui pourrait elle la sauver ?
Il s'agit d'une des séries de la sélection アニメミライ (Anime Mirai) composée de 4 épisodes. Il faudrait que je trouve les autres épisodes qui n'ont visiblement rien à voir autant leur histoire que leur graphisme.
