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Présentation : Shōwa Monogatari ; Mahō Shōjo Madoka★Magica ; IS 〈Infinite Stratos〉

Thursday 6th January 2011

テレビまんが「昭和物語」

Rōmaji : TV manga 「Shōwa Monogatari」
Site film/anime : Officiel.
Première Diffusion : 04/01/2011 à 21:00 (tvk)
Nombre d'épisodes : 13 ?
Studio d’animation : Wao World
Date de sortie du film : 21/01/2011 (cinéma)

Et bien, je fais des listes et il en manque toujours. Voilà une série qui se passe en l'an 39 de l'ère Shōwa (1 964), à Tōkyō. On voit clairement que la série se passe sur une certaine nostalgie du passé, avec en ending des photos de lieu présent et des photos d'archives de ses mêmes lieux qui ont servi de modèle à la réalisation des décors de la série. On retrouve toutes les technologies de l'époque.

Au niveau de la réalisation, c'est pas trop mal. On retrouve l'ambiance assez bien retranscrite, du moins cela m'en donne l'impression, même si l'on sent qu'il y a une certaine insistance justement à vouloir la mettre un peu trop en avant. À côté de cela, on suit la vie d'une famille typique de cette époque. Le gros point noir, c'est le seiyū de ce personnage au centre du premier épisode qui est... franchement de loin le moins convaincant de tous, ce qui est un peu gênant.

Les thèmes mis en avant sont « les liens familiaux » et la « manufacture japonaise ». Avec comme centre la famille Yamasaki. Dans le premier épisode, ce sont les relations entre Yohei (山崎公平), le benjamin de 12 ans, avec son père qui sont mises en exergue dans une petite histoire. On devrait normalement l'évolution de cette famille avec les changements qui se mettent en place dans ce pays, dont l'évolution du train de vie à changer très rapidement après guerre.

Peu probablement que je regarde la série jusqu'au bout... C'est lent et j'ai du mal à accrocher, même si je trouve que sur certains points la série vaut le coup d'y jeter un coup d'œil.
Un film est aussi prévu au Japon pour le 21.

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À la vue des maigres informations données il y a quelques semaines, j'avais peur d'avoir un clone de Nanoha. Puis, à la vue des premières minutes, l'univers m'a plus fait penser à un mélange entre Hidamari et Bakemonogari (ce qui peu étonnant vu le cast) avec du Kalafina en fond sonore. Et là, on peut vraiment ce demander ce que ça donne. 魔法少女まどか★マギカ ~Puella Magi Madoka Magica~ (Mahō Shōjo Madoka★Magica) pourrait limite faire figure d'ovni dans le genre mahō shojō même s'il en reprend tous les codes. D'ailleurs en de nombreux points, on a l'impression de revoir le début de Nanoha, mais l'esthétique n'a vraiment rien à voir.

La réalisation est vraiment spéciale. Le côté Hidamari Sketch se fait au travers du character design et des plans bizarres (il y a même quelques clins d'œil), ce qui est aussi un point commun avec Bakemonogatari, repris sur son côté sombre. Il y a cependant un côté encore plus déroutant : la face « monde magique » qui ressemble à collage de dessins glauques dans un style qui n'a rien à voir avec le reste. Ce côté qui semble sans logique est assez surprenant, mais l'idée est vraiment originale dans sa mise en forme. En plus, Kalafina se marie parfaitement avec ce genre d'ambiance, alors qu'à première vue on pourrait penser que ça colle pas trop avec du mahō shojō à la Nanoha.

D'ailleurs sous de nombreux points ça y ressemble. Le début avec le rêve avec un combat de magie. Ensuite, l'arrivée assez brusque vers ce qui va être le grand tournant de la vie de l'héroïne, ainsi que la façon dont elle va récupère un familier qu'elle sauve grâce à un appelle télépathique. Malgré cette idée concordance qui revient à chaque similitude, l'histoire, quoi qu'un peu bateau, passe assez bien. Le style légèrement futuriste donne une autre touche à la série avec ses architectures particulières, complètement antagoniste.

Résumé rapide de l'épisode :
Dans le premier épisode, KANAME Madoka (鹿目 まどか), une lycéenne se réveille. Elle a fait un rêve étrange dans un monde bizarre où une fille combattait avec des pouvoirs magiques. Une fois debout, elle va réveiller sa mère, une femme joyeuse et dynamique. Mère et fille s'entendent à merveille. Au lycée, dans sa classe une nouvelle élève arrive, AKEMI Homura (暁美 ほむら). Sa beauté accapare les regards. Elle est intelligente, sportive, mais pas très sociale. Étrangement, elle s'intéresse à Madoka et la prend à part pour lui parler de l'intérêt qu'elle porte à ses proches. Puis le soir, Madoka se rend avec ses copines dans un centre commercial, puis se retrouve seule avec MIKI Sayaka (美樹 さやか) dans boutique de musique où elle entend qu'on l'appelle à l'aide. Elle suit cette voie dans un lieu désaffecté où elle trouve une créature kawaii étrange très mal au point. Cette dernière est la cible de Homura. Madoka est sauvée par Sayaka et elles fuient ensemble pour se retrouver piégées dans un monde abracadabrantesque. Une jeune fille du même lycée qu'elles, une mahō shojō, les sauve. Homura s'en va.Madoka et Sayaka apprennent alors qu'elles sont elles aussi des mahō shojō.

Voilà un début bien plus intéressant que je ne l'imaginais. Vivement la suite !

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Des bishōjo et des mecha, voilà ce que promettait la série et IS 〈インフィニット・ストラトス〉 (IS <Infinite Stratos>) c'est bien cela. Par contre, il y a beaucoup moins de service que je le pensais, en fait il n'y en a quasiment pas ce qui est plus qu'étonnant pour ce genre de série. Peut-être que par la suite cela pourrait changer, mais généralement le premier épisode donne le ton. Quoi qu'il en soit, on ne peut pas faire pire série harem, un seul garçon dans un lycée en théorie exclusivement réservé aux filles, non pas par choix, mais parce qu'aucun homme ne rentre dans le cadre... La seule exception est donc le héros qui se retrouve être la bête curieuse que tout le monde regarde. C'est un point qui m'amuse dans cette série, plus que le reste. Mais combien de temps cela va-t-il durer ?

L'environnement futuriste de cet anime est vraiment bien rendu et omniprésent de façon bien gérée sans que cela soit dans l'excès. Pour ce qui est de l'animation, ça reste dans la moyenne et on retrouve encore une fois le contraste avec les animations des combats avec les exosquelettes qui sont d'une fluidité remarquable. D'ailleurs, c'est qui n'en fait pas à mes yeux une série complètement mecha.

Pour revenir à l'histoire, on suit l'arrivée de ORIMURA Ichika (織斑 一夏) qui arrive en première année dans son nouveau lycée réservé à ceux en capacité de contrôler les IS, soit en théorie uniquement la gente féminine. Comme par hasard, dans sa classe il retrouve une amie d'enfance qu'il n'avait plus revue depuis six ans, SHINONONO Hōki (篠ノ之 箒), qui a un vrai tempérament de tsundere qui ne sait plus comment l'aborder. Il a également la chance d'avoir sa sœur aînée comme prof, ORIMURA Chibuyu (織斑 千冬) , qui est un peu une légende vivante dans le milieu. Elle est très sévère avec lui, ce qui met encore plus la pression sur Ichika qui est vraiment loin d'être au niveau. En fait, pour nous permettre de mieux comprendre, nous spectateur, il pose des questions qui le font passer pour un imbécile. Mais bon, le fait qu'il soit le seul garçon semble faire passer beaucoup de choses. Comme par hasard, il se retrouve dans le dortoir des filles (en même temps, il n'y en a pas d'autres), dans la chambre de Hōki, qui un haut niveau en kendō. Vivre avec elle risque d'être compliqué... par sa vie. L'épisode s'achève comme il se trouve à relever un défi avec l'Anglaise de la classe, Cecilia ALCOOT (セシリア・オルコット), ou toutes pensent qu'il a perdu d'avance.

La série est un poil mieux que ce que j'attends, on verra pour la suite, mais le début est déjà bien sympa. Je me demande pourquoi, mais ça me fait un peu penser à Mai-Otome... Peut-être à cause de la chanson de l'opening.

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