Samedi 9 Janvier 2016
Une nouvelle saison commence avec quelques bonnes surprises et d'autres attendus, mais aussi un peu de déceptions.
Pour le cadre, suite à un problème dans une usine, les gens qui viennent dans les environs se sont mis à voir ce que les hommes n'avaient pas la capacité de voir : les phantoms. On suit Haruhiko, un lycéen en première année, toujours accompagné de Ruru, une fée phantoms, de la taille d'une main vêtue assez légèrement, dans un style plus oriental. Il a pour senpai, Mai, une fille sportive qui a gagné des capacités physiques hors norme, qui combat les phantoms, qui doit les affaiblir pour que Haruhiko, puisse les dessiner et les capturer sur le papier et pouvoir s'en débarrasser. La majorité des phantoms sont problématiques, Ruru est une exception (et elle le sait elle-même). Dans le premier épisode, Haruhiko va faire la rencontre (sous tous les angles) de Reina, une mangeuse de phantoms.
Dans l'ensemble, c'est concon, mais c'est bien réalisé et assez drôle, surtout la scène du limbo.
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Bonne surprise : ハルチカ〜ハルタとチカは青春する〜 (Haruchika ~Haruta to Chika wa Seishun-suru~). La série est un mélange entre Hyōka et Hibike! Euphonium, ce que je veux dire, c'est que cela mélange un club d'instrument à vent et des énigmes à résoudre. Et ce qui est bien, c'est que la mise en scène est plutôt sympa avec un duo assez atypique.
Chika arrive au lycéen, et son objectif est de devenir une fille plus « mignonne ». Ce qu'elle entend, c'est qu'elle était au collège dans un groupe de volley-ball, et elle a eu l'impression d'avoir perdu son adolescence à cause du sport. Son idée est donc d'entrée dans le club d'instruments à vent (surtout à cause du prof). Cependant, il est dur d'adoucir son caractère. Chasser le naturel, mettrait un élément perturbateur comme un ami d'enfance qui surgit et qui vous connaît que trop bien, Haruta, et... c'est mort. Chika n'est pas très intelligente, mais elle comprend vite. Cependant, les membres du club semblent quel peu au-dessus d'elle en matière de réflexion quand une mystérieuse partition peinte en rouge va apparaître sur le tableau de la salle du club.
Chika jouera un peu le rôle de poser les questions idiotes et Haruta d'y répondre. C'est assez frustrant pour elle qui semble un peu trop passer pour une ingénue. Heureusement, l'ambiance rende le tout assez intéressant à suivre et il y a une belle surprise en fin d'épisode. Chika n'est pas la seule à vouloir le prof.
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僕だけがいない街 (Boku dake ga Inai Machi) est une demi-déception. Pour l'instant, un conseil : lisez le manga ! Le premier épisode résume le premier tome. Ce qui veut dire qu'une bonne partie d’évènement passe à la trappe, et je trouve cela vraiment dommage. De plus, certaines scènes sont aussi simplifiées. Et pour finir, le character design est moins bon. En clair, pas chaud de passer sur l'anime après avoir lu le manga. Ça reste moins catastrophique que sur d'autres séries. L'ambiance y est respectée et c'est plutôt cool de voir les personnages s'animer.
On suit donc l'histoire de Satoru, un mangaka qui ne réussit pas, et donc doit travailler à côté. Celui-ci à la capacité de revenir quelques minutes en arrière après avoir vu un papillon bleu qui est un signe qu'un drame va arriver. Ce don va prendre de l'ampleur quand un évènement tragique à le concerner et le ramener loin dans le passer, quand tout à commencé.
J'ai un peu peur pour la suite, car il n'y a actuellement que 7 tomes, et si la suite est aussi condensée, je me demande où va aller la série...
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Une petite série à références, だがしかし (Dagashi Kashi ou Daga Shikashi, référence au bonus de fin, mais la traduction du second me semble étrange). Les références sont pour certaines assez évidentes et cela ne se prend vraiment pas au sérieux avec des scènes bien marrantes.
Je dois dire que Hotaru va sacrément foutre le bordel dans ce petit village de campagne. D'une, elle vient pour récupérer le père du héros, mais se retrouve à devoir aussi draguer Kokonotsu, le fils qui n'a pas du tout envie de suivre la même voie que son paternel. Le problème, c'est qu'il y a déjà Saya, une amie, qui veut Kokonotsu, et l'arrivée de Hotaru va rendre la vie du jeune garçon assez compliqué. Saya a pour idiot de petit frère jumeau Tō qui regarde tout cela en se marrant et ajoutant son grain de sel.
Pour l'instant, le début est assez amusant. J'attends de voir quelles nouvelles excentricités cette folle de sucrerie qu'est Hotaru va nous sortir.
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Dans la section des séries sans intérêt : ファンタシースターオンライン2 ジ アニメーション (Phantasy Start Online 2 The Animation). Cela se passe dans un futur proche et on suit un héros qui va apprendre à découvrir le jeu à la mode PSO2 et là ça m'a bien fait rire... C'est futuriste ou non ? Bref, si on fait abstraction de cette curiosité. Je remarque que toutes les parties dans le jeu sont en complète CG et pour le monde réel en animation plus traditionnelle.
Alors, qu'est-ce qui m'a gêné dans cette histoire ? On suit Itsuki, un lycéen sans grand intérêt qui va attirer l'attention de la seitokaichō, Rina, qui représente l'excellence (à classer dans génie à ce niveau-là : sport, art, étude, mémoire...). Elle connait le nom de tous les élèves de son établissement, mais pourquoi lui ? En plus, elle lui propose de devenir le fukukaichō, dont le but est d'être sur PSO2. Il accepte, mais il n'y a jamais joué et découvre le jeu. Un personnage robotique va le prendre sous son aile pour lui expliquer comment ça fonctionne. Bon, il ne vaut pas longtemps pour comprendre qui se cache derrière cet avatar.
Dans l'ensemble, ce n’est pas intéressant. La seule chose qui peut être intéressante, c'est de comprendre pourquoi Rina la choisit...
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少女たちは荒野を目指す (Shōjo-tachi wa Kōya wo Mezasu) commence assez lentement pour mettre en place son concept qui ne me semble pas franchement intéressant.
Tout le premier épisode n'est qu'une longue introduction autour de Buntarō, un garçon populaire et serviable, qui n'a pas vraiment d'objectif d'avenir. Il prend les choses comme elles viennent. Puis un jour, une fille de sa classe, qui semble ne pas avoir d'ami, lui propose d'un rendez-vous, il ressemble beaucoup à une sortie en amoureux pour ses amis. Il l'accepte, et après avoir passé la journée ensemble, elle lui fait une proposition surprenante et lui explique pourquoi.
Enfin, surprenante, mais un peu bizarre, et manque cruellement d'originalité. J'ai bien peur que la suite soit un peu comme Saenai Heroine no Sodatekata.
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おじさんとマシュマロ (Oji-san to Marshmallow) est une série d'épisodes en 3 minutes, qui est une suite de gags autour de la guimauve. On suit deux personnages, Iori et Habahiro, qui semblent s'aimer, mais aussi jouer à se taquiner de façon assez... étrange. Je m'étais un peu planté dans ma traduction, car Habahiro adore la guimauve, et Iori passe son temps à lui faire des avances à peine masqué. En clair, les personnages jouent un jeu peu bizarre qui semble bien amuser leur collègue de bureau. La réalisation est assez simple, mais limitée. Cela reste assez bon pour que le gag soit assez bien animé.
