Dimanche 5 Avril 2015
Troisième saison de Tesagure! Bukatsu-mono avec てさぐれ！部活もの すぴんおふ プルプルんシャルムと遊ぼう (Tesagure! Bukatsu-mono : Spin-off Purupurun Charm to Asobō) toujours réalisée en MMD. Petit changement, outre le format qui double de taille pour faire la taille d'un épisode standard de 30 minutes (pubs incluses, soit 23 minutes sans), en plus des héroïnes qui bouche sans fin sur leur année scolaire, il y a 5 déesses qui font jouer un peu le même jeu que les héroïnes, avec un ping-pong entre les deux univers.
La série joue donc la carte du cross-over, tout en sachant pertinemment que cela en est un, vu qu'elles savent qu'elles peuvent s'arranger avec les règles quand cela les arrange. Enfin, il s'agit ici d'une coloration avec les cinq déesses de Purupurun Charm (プルプルんシャルム) tout droit reprise du yon-koma manga : Minarai Megami Purupurun Charm (みならい女神 プルプルんシャルム). Le but est d'un partenariat « gagnant-gagnant ». Je ne sais pas si ça sera le cas, surtout qu'elles annoncent elles-mêmes que le but est de profiter des seiyū populaires des nouvelles venues. (Àprès vérification, ça semble bien être le cas.)
Après une mise en place du contexte, les filles se séparent chacun dans leur univers et font du Tesagure! Bukatsu-mono chacunes dans leur coin. D'un côté, ça parle de nouveau robot féminin (chez les déesses) et de l'autre des nouveaux 4-yoma manga du type tranche de vie. Il semble qu'il y ait plus d'aisance chez les héroïnes d'origine qui partent assez vite dans un délire et ça devient dur à suivre quand elles partent en fou rire ou parle toutes ensemble.
La seconde saison c'était déjà un peu n'importe quoi. Cette fois ça l'est moins, mais le délire reste plus moins le même depuis le début. Je pense que je vais suivre cette nouvelle saison sans peine.
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Heu... SHOW BY ROCK!! ce n’est pas trop ce à quoi je m'attendais. Je savais qu'il y aurait un mode « 3D », mais j'imaginais que ça ressemblerait à cela. Bon pour le rock vous pouvez oublié c'est du pure keion moe kawaii et tous les adjectifs qui vont avec. En tout cas, la série semble être un gros délire.
L'héroïne qui voulait intégrer le groupe de musique du lycée qu'elle vient t'intégrer va être étrangement plongée dans un monde de musique grâce à un jeu mobile après qu'elle ait gagné un objet, semble-t-il, légendaire : la guitare Strawberry Heart (ストロベリーハート).
Happé dans ce monde, Cyan tombe dans un mode « 3D » (et SD) en chat gothic lolita. Ça fait un peu Code Lyoko avec des personnages pas trop mal animés et parfaits pour vendre des figurines (mais franchement, je n'aime pas trop le style de la plupart des personnages en images de synthèse). Elle tombe sur la scène d'un groupe qui chante quand un monstre arrive pour foutre le bordel et surtout prendre leur pierre. Dans un moment critique (mais pas trop pour l'héroïne), apparait l'objet qu'elle avait gagné dans le jeu mobile, une guitare rose en forme de cœur qui parle et qui va lui permettre d'utiliser un grand pouvoir qui va sauver le groupe mal au point, cela en jouant un solo détonant de guitare électrique. La performance de la jeune gothloli impressionne.
Quand elle reprend forme humaine, c'est en tant que nekomimi, et se fait recruter par le groupe diriger par une sorte d'œuf masochiste qui parle. Le groupe n'est pas bien riche. Cyan prend les choses comme elles viennent, sans trop chercher à comprendre, tant qu'elle peut faire ce qu'elle aime : de la musique.
La série ne semble jamais vraiment au sérieux et c'est un peu ce qui rattrape tous ces trucs qui semblent sortis d'une série visant un public bien plus jeune. En tout cas, après Day Days'' un Nouveau Monde de kemonomimi avec la J-pop à toutes les sauces dans un complément absurde où tout tourne autour de la musique. À voir voir ce que cela peut donner.
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Rapide détour sur アルスラーン戦記 (Arslan Senki), nous transporte en Perse où l'on suit le prince Arslan qui n'a que 12 ans. La série est vraiment bien foutue, mais je n’accroche pas trop au personnage... Ce qui est un peu gênant, mais je pense que la série vaut le coup d'être testé. Ceux qui aiment ce genre d'univers risquent d'apprécier, la réalisation est au poil.
Dans le premier épisode, Arslan est pris en otage par un prisonnier de guerre de son âge qui cherche à s'enfuir pour ne pas devenir un esclave. Arslan ne comprend pas trop ce qu'il se passe dans son peuple, et pense les esclaves heureux, mais dans cette cavale avec son ravisseur, il va découvrir la bien triste réalité de son peuple, bien moins idyllique qu'il l'imaginait.
Je me demande si la suite sera plus intéressante. J'ai eu l'impression d'avoir un scénario revu mainte et mainte fois, c'est un peu cela qui m'a rebuté en plus du héros un peu trop ingénu.
